1. Tournante de pines pour maman et tante Lucie. (2)


    Datte: 14/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... maman" mais il était trop tard., Il était chauffé à mort, l’appétit sexuel qui est développé chez lui jusqu’à l’addiction prenait le dessus; il prit un peu de recul assez pour que sa bite glisse et descende de la raie du cul jusque dans l’entrejambe et, sans efforts, il poussa son gland en avant et sa bite disparut dans les chairs sous l’impulsion d’un formidable coup de reins. Les applaudissements fusèrent. J’avais envie de pleurer mais j’avais aussi envie de baiser. Et je me refusais à l’admettre. Ma queue était toujours tendue. J’étais hypnotisé par la scène. Quand mon frère se fut bien accoutumé au vagin maternel, les mecs organisèrent une tournante. Celui qui baisait maman la quittait pour se faire sucer alors que celui qui baisait tante Lucie passait de sa chatte à celle de maman et qu’un troisième occupait aussitôt la place laissée libre. Chaque femme avait en permanence une bite dans la raie et une dans la bouche. Et le cinquième garçon se masturbait en attendant qu’un trou se libère. Voir mon frère sauter ma mère, cela m’avait foutu une sacréeclaque mais ce ne fut rien quand il lui présenta son nœud à pomper, sans complexe, sans témoigner la moindre retenue, sans même le soupçon d’hésitation qu’il avait eue avant de la pénétrer... comme si c’était naturel; et elle, elle se jeta sur la bite avec délice. Elle la suçait rapidement, agitait sa tête dans tous les sens pour emmener le manche tantôt vers la joue droite tantôt vers la joue gauche, le léchait faisait ...
    ... rouler la langue entre le prépuce et le gland, avalait entièrement le chibre. La salive dégoulinait jusque sur les poils des grosses couilles et mon frangin râlait alors de plaisir tout en forçant ma mère à ne pas se retirer, à se maintenir le plus loin et le pus longtemps possible dans une irrumation très virile. C’était à vomir. Je les détestais tous... à moins que ce ne fut de la jalousie. Pendant le court intervalle pendant lequel un mec changeait de place, les femmes les complimentaient ou exprimaient leur plaisir : - Vas-y, bouche -moi le trou ! - Trop bonne ta queue dans mon cul, viens là mon poussin que je te suce. - Elles sont bonnes toutes vos grosses bites... J’étais abasourdi d’entendre ma mère complimenter tous se salopards et surtout mon frère. - T’as une bonne queue mon chéri. Je suis fière que la nature ne t’aies pas ratée. Tu peux remercier ta mère de t’avoir si bien réussi, d’avoir fait de toi un homme si bien monté. - Et ton père donc, c’est dans mes gènes ! Plus ça allait, plus ils changeaient vite de place et ce fut Bertrand qui, le premier éjacula dans la bouche de maman. - Oh putain t’es vraiment une trop bonne pipeuse, tu m’as encore eu par surprise. Il se retira. Le sperme s’écoulait par les commissures des lèvres et, comme elle étaient toujours côte à côte, Lucie vint embrasser ma mère pour recevoir sa dose. Je les vis se palocher pour échanger la jute. Puis, Maxime mit sonsexe dans la bouche encore gluante. Ce fut plus fort que moi, je bandais trop, ...