Voir, c'est croire
Datte: 27/09/2017,
Catégories:
fh,
volupté,
Oral
préservati,
pénétratio,
... s’épanouir les premiers arômes. Fermant les yeux, elle commença à humer ce vin si fantastique. Il était léger, des notes minérales, un bouquet encore un peu incertain. Elle le leva à la lumière pour voir la belle robe qu’elle lui supposait. Clair, fluide, il serait sur la langue délicat. Elle porta le verre à ses lèvres, laissant entrer doucement ce nectar dans sa bouche. Une petite gorgée qui éblouit ses papilles et fit travailler sa mémoire olfactive, jusqu’à vouloir trouver une correspondance. — Approche ! ordonna-t-elle avec un sourire. Raphaël se leva, fit le tour de la table avant de s’asseoir dessus, en face de la belle. Elle se pencha dans le col de sa chemise, et du bout du nez effleura doucement la peau. Elle retourna à son verre, puis encore à la peau du jeune homme avant de murmurer : — Tabac… Bois mais… Se redressant alors elle dit : — Du tabac et une senteur boisée, mais que je n’arrive pas à définir !— Peut-être du cèdre ? répondit-il. Respirant alors presque sauvagement à nouveau les deux sources, elle confirma dans un éclat de joie : — Oui, c’est tout à fait ça ! Quel nez formidable ! Raphaël, en la remerciant du compliment, lui demanda pourquoi elle l’avait comparé au vin. — Je connais la composition de ton parfum, et vous aviez en commun le tabac et la note boisée, expliqua-t-elle. J’ai une expérience du vin assez restreinte, mais une très bonne mémoire olfactive !— Dommage que je n’ai pas eu cette idée avant, sinon, j’aurais choisi un vin qui aille avec ...
... ton parfum ! dit-il en approchant son visage du décolleté de la jeune femme. Elle portait un chemisier blanc en coton, fermé par un lacet élégant et tentateur. Raphaël, délicatement, commençait à défaire le lacet du bout des lèvres, passant après passant. Elle se laissait faire, goûtant le plaisir de le voir œuvrer tandis qu’elle savourait son vin, appuyée à présent au dossier du club dont il avait rapproché l’assise vers lui. Il était courbé sur elle, les mains sur les accoudoirs, la taille entre les genoux de sa belle. Arrivé au milieu du ventre, il releva la tête vers Marion qui affichait une parfaite sérénité rougissante. — Tu ne portes pas de soutien-gorge, petite coquine ! Sourire. Elle savait qu’à travers le blanc du chemisier, il l’avait déjà vu. La demoiselle connaissait aussi l’effet produit quand ses seins étaient libres, qu’ils pouvaient se révéler dans toutes leurs rondeurs. Marion aimait les mettre en valeur avec la simplicité offerte aux femmes dotées d’une belle poitrine sans artifice. Une première pour elle que de sortir les seins libres. Elle le regardait contenir son excitation. Il déposa un baiser entre ses seins, accentuant au passage l’échancrure nouvelle du chemisier, puis retourna s’asseoir dans son fauteuil. En buvant son vin, il la regardait, l’admirait. Elle avait croisé ses pieds sur la table basse qui était sur le côté du fauteuil, laissant sa jupe remonter sur le bas de ses cuisses. Ses hanches pivotaient un peu, mais son dos restait droit, et ses ...