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Justine, Jérôme, Rex et la famille. (13)
Datte: 14/04/2020, Catégories: Inceste / Tabou
Ch13. Le départ des cousins. Le réveil fut quelque peu difficile ; Charly et moi avions passé la nuit à la belle étoile, attachés par nos bracelets aux montants des transats. Les filles sont venues nous réveiller avec une fougue hors du commun ; comme tout mâle qui se respecte, le matin, c’est la trique. En voyant notre état, les filles nous ont masturbés avec force tout en maltraitant nos pauvres tétons, mais sans nous faire éjaculer. À la question de savoir si elles avaient bien dormi, elles nous ont tout simplement décrit leur nuit ; en voici le résumé : Hier soir, après avoir pistonné les deux filles par tous les trous, orgasme après orgasme elles avaient pris un incroyable pied. Elles nous attachèrent gentiment sur les transats en nous indiquant que c’était ainsi qu’elles traitaient leurs prisonniers. Elles se sont couchées avec leur reine ; notre chef a tout simplement pris mon lit. À les entendre, elles ont passé une nuit magique, installées tous les trois dans le lit XXL des parents ; elles se sont lancées dans un jeu saphique, aussi torride que sensuel. Leur mission était simple : se donner du plaisir et en donner à la reine. La reine, allongée entièrement nue au milieu de ses deux guerrières, se laissa faire au début, offrant ses mamelles généreuses aux deux nymphes gloutonnes qui tétèrent sans aucune retenue les mamelons gonflés de désir. Leurs mains caressaient avec tendresse le ventre rond et les cuisses un peu potelées de leur reine. L’idolâtrant au plus haut ...
... point, elles fouillaient son entrejambe chaud et humide ; sa vulve inonda leurs doigts de cyprine qu’elles léchèrent avec délice. Bouche contre bouche, elles échangèrent le liquide au goût suave et doux. Justine alla en chercher directement à la source, l’aspirant au plus profond de l’écrin grand ouvert, et le partagea à nouveau avec sa cousine. Elles devaient également se faire plaisir. Elles se lancèrent alors dans un 69 torride et passionné, aspirant leur propre jus ; elles gloussaient et couinaient bruyamment. Elles n’avaient encore jamais déployé une telle ardeur. Leurs tétons pincés entre le pouce et l’index des mains de l’autre, elle s’infligeait le même supplice qu’elles avaient fait subir à leurs prisonniers ; sous la douleur, elles rugissant telles des tigresses. Elles mélangèrent à nouveau dans leur bouche la cyprine ainsi récupéré des trois femelles dans un bruit de succions gloutonnes. Leurs doigts touchèrent avec frénésie les petites lèvres de leur vulve dilatée, puis les grandes, puis atteindre leur clito gonflé d’envie, et enfin plonger dans leur vagin ruisselant. C’est à cet instant qu’elles furent secouées par un puissant orgasme ravageur. Les cheveux en bataille, la gorge sèche et le corps trempé de sueur, elles reprirent les câlins à leur reine. Assises en tailleur, la vulve grande ouverte, elles recommencèrent à parcourir les cuisses en direction de la caverne tant convoitée, mais elles furent interrompues par une voix qui leur dit : — Justine, va chercher ...