1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (13)


    Datte: 14/04/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... les doigts dans le vagin de la reine, s’endormirent. Le récit qu’elles venaient de nous faire avait mis notre vit dans un état d’érection impressionnant. Mais il fallait se bouger car, à notre grand regret, leur père venait les chercher dans la matinée ; nous n’avions plus trop le temps de nous amuser. Les filles montèrent se doucher ; mon cousin et moi déjeunions, à poil pour changer. Ensuite, direction la salle de bain pour une bonne douche ; une belle surprise nous y attendait : les deux filles étaient en train de se faire une beauté, nues devant la glace ; elles nous regardèrent puis se sont regardées, et sans dire un mot se sont approchées de nous. Cette situation me rappela le jour de notre anniversaire où Justine m’avait taillé une pipe ici même et dans les quasi mêmes conditions. Je ne pensais pas qu’elle allait – ou plutôt qu’elles allaient – renouveler l’exercice ; elles se sont approchées et se sont agenouillées. Justine prit ma bite en bouche, Colombe celle de son frère, et elles nous sucèrent avec application ; j’avais la queue à la verticale, raide et dure comme une batte de base-ball. Puis elles se relevèrent, s’appuyèrent les fesses contre le rebord de la double vasque du lavabo, et s’embrassèrent goulûment en se masturbant réciproquement. Justine, l’œil toujours aussi coquin et malicieux, nous dit : — Hé, les mecs ! Pendant qu’on se fait plaisir, vous allez vous branler ; voir des mecs se branler devant nous, ça m’excite. Pas toi, Coco ? Mais n’allez pas ...
    ... trop vite, qu’on puisse savourer le spectacle : c’est la dernière fois qu’on s’amuse ensemble, alors faites ça bien. Elles reprirent leurs caresses, un pied sur un tabouret. Leur vulve ouverte était bien visible ; leurs mains allaient et venaient sur toutes les parties de leur corps. En passant de leur vulve à leurs seins, les baisers donnés à profusion couvraient tout leur corps. Nous, nous nous agitions la queue comme deux voyeurs vicieux des plages du Sud ; je tentais de maîtriser la venue de mon éjaculation, mais ne pouvant plus tenir, les jets saccadés de sperme partirent sur le sol. Les deux filles, cramponnées au bord du lavabo, se tordaient de plaisir en gloussant. Le cousin avait lui aussi maculé le sol de son jus, quand : — Les filles ! Colombe, Justine, les garçons ! Votre père est là, descendez ! Panique à bord ; nous avons filé sous la douche. Justine me dit : — Vos fringues sont là, vous mettez ça. Oui, maman, on arrive. Deux minutes ! Elle avait terminé sa phrase en criant. Nous prîmes notre douche en vitesse. Au moment de nous habiller, nous découvrîmes pour chacun un string, un short très court et moulant, et un débardeur ajouré. Pas du tout dans le dress-code de leur famille : rien à voir avec la tenue de golf ringarde qu’avait Charly en arrivant. Les filles nous rejoignirent ; elles étaient canon : minijupe moulante, la poitrine arrogante, le chemisier léger, col ouvert avec vue sur le soutif noir en dentelle, jambes nues et chaussures plates. Il est vrai que ...