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Justine, Jérôme, Rex et la famille. (13)
Datte: 14/04/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... les godes-ceinture, ceux que vous avez utilisés sur nos esclaves. Et n’oublie pas le gel lubrifiant : vous allez en avoir besoin. Un peu inquiète, la guerrière s’exécuta, revint avec les objets désignés et les tendit à la reine-mère. — Ce n’est pas pour moi, mais pour vous : je veux du spectacle. Vous comprenez ce que je veux dire ? Alors au boulot ! Après un « Bien, votre Altesse » elles enfilèrent les doubles godes-ceinture. Le phallus destiné à leur vagin largement lubrifié entra sans difficulté ; un léger soupir de plaisir se fit entendre. Elles enduisirent la partie destinée à leur anus avec soin car celle-ci, d’un diamètre de cinq centimètres, devait pouvoir glisser facilement pour éviter trop de souffrances. — Colombe, je suis prête. Pour le plaisir de ma reine, encule-moi ! a ordonné Justine. La douce Colombe se plaça derrière Justine, elle-même à quatre pattes, le cul bien en l’air, la poitrine posée sur le lit, les bras à plat et bien en avant ; elle ferma les yeux, attendant avec une impatience non dissimulée la pénétration de l’énorme engin dans son petit trou du cul. Sa cousine présenta le gland en caoutchouc devant le trou ainsi offert ; saisissant alors Justine par la taille, elle lui enfonça l’objet. Le phallus força le passage. Colombe transpirait sous l’effort ; Justine, sentant son orifice céder et s’élargir sous la poussée, râlait et grimaçait. Après quelques efforts, l’engin entra de plus en plus, envahissant la totalité de son cratère anal ; elle fut ...
... prise de violents soubresauts : un nouvel orgasme venait de la terrasser. Puis se fut le tour de Colombe. — Allez, viens, espèce de salope ; je vais te défoncer le cul ! En position ! Comme prise par la culpabilité d’avoir fait quelque chose de mal, Colombe se plia de bonne grâce à son supplice, bien que son cul ait déjà reçu de la visite : le soir même, son oncle le lui avait défoncé. Pour elle, cela semblait être juste une formalité. Cette formalité était malgré tout un peu encombrante et plus compliquée à recevoir que ce qu’elle pensait ; ses grimaces en étaient le témoin, mais elle fit preuve de courage, ne dit mot, mais cria de plaisir au moment suprême où son anus semblait se déchirer en provoquant un orgasme d’une violence encore jamais connue. Pour terminer cette soirée de folie, la reine ordonna de se faire prendre par ses deux guerrières. À quatre pattes sur Colombe, elle s’enfonça sur le gode ; Justine lui avait rentré le sien dans le cul et, la rage au ventre, la pistonnait comme une guerrière. Sous les coups de boutoir, les seins pendants de la reine frappaient le visage de la douce Colombe, se retrouvant parfois le nez pris entre les mamelles. La reine rugissait, sa cyprine ruisselait le long de ses cuisses. Les trois femmes arrivèrent en même temps à l’orgasme, dans une explosion de plaisir, d’une telle force qu’elles se tordaient, secouées comme des poupées de chiffon. Une fois calmées et heureuses, elles se couchèrent ; les guerrières, le téton dans la bouche et ...