Le printemps
Datte: 15/04/2020,
Catégories:
fh,
hbi,
couplus,
boitenuit,
amour,
Transexuels
facial,
Oral
fsodo,
hsodo,
échange,
confession,
... grands coups de reins pour baiser son équilibriste. Valériane ne cesse de l’encourager. J’ai découvert depuis un moment que son vocabulaire peut être plus que « brutal » et même grossier. Cela lui va bien et quel homme n’aimerait que sa maîtresse lui balance des « Ta bite me laboure… Enfile-moi profond… Plus fort… Encore » ? Le duo repart. Loïc bloque ma femme contre un mur. La cloison vibre de ses coups. Je suis presque jaloux des baisers échangés, des yeux qui se révulsent, des soupirs, des gémissements, des gestes de tendresse et surtout de la fougue de ma femme qui se livre totalement aux assauts de son amant. Elle jouit et le fait savoir. Il fait de ses lèvres un bâillon, mais je vois bien que Valériane est au plus haut, que sa jouissance l’emporte et que cet homme qu’elle ne connaît que depuis quelques heures la satisfait pleinement. Anaïs aussi semble subjuguée. Nous abandonnons les amants à leur plaisir et retournons dans ma chambre. Dire que cette nuit a été mémorable. Je pourrais dire oui, mais mémorable pour ma femme. Je ne sais combien de fois nous l’avons entendue crier son plaisir et si celui que je partage avec Anaïs est fort il nous semble bien classique comparé à ce qui se passe de l’autre côté de la cloison. Sans nous parler, ma maîtresse et moi comprenons que nous devons être vigilants et peut-être encore plus à l’écoute de notre conjoint. Moi je sais que le lien avec ma femme est très fort, déjà vérifié avec nos aventures réciproques, mais ce n’est ...
... pas le cas d’Anaïs. Son mari se révèle sous un jour qu’elle ne soupçonnait pas, un amant redoutable, capable de se projeter dans une relation en quelques heures. Le matin, c’est nous qui sommes les premiers debout. En quelques heures, nous voici déjà comme un vieux couple, même si je me suis efforcé de lui donner beaucoup de plaisir. Nos conjoints arrivent. Ils sont rayonnants. Loïc se précipite vers sa femme et fait assaut de tendresse. — Bonjour, ma chérie. Tu as passé une bonne nuit ? Moi c’était magique. Quelle chance que tu aies rencontré Valériane pendant ce stage ! Anaïs aussi se fait câline. — Oui c’est vrai. Et se tournant vers nous : — Merci, Valériane ; merci, Pascal.— Tu as raison, chérie, nous leur devons beaucoup. Je sais qu’un bon repas n’est pas grand-chose, comparé à ce que vous nous avez apporté, mais permettez-moi de vous inviter. Quelques heures plus tard, nous sommes au restaurant où Loïc a réservé. Mais alors que nous sommes installés depuis quelques minutes un couple passe devant nous et va s’asseoir un peu plus loin. Tous les quatre nous les remarquons, car si la femme est une magnifique métisse l’homme est encore plus surprenant, car il s’agit d’Alban. Alban qui nous tourne le dos maintenant, tranquillement assis en face de la femme. Nous a-t-il vus ? Que fait-il ici alors que je l’ai laissé à la gare ? — Je suis presque certain d’avoir déjà vu cet homme. Mais où ? Chérie, il ne te dit rien ? demande Loïc.— Jamais vu, répond Anaïs avec une sorte de ...