Le printemps - Histoires de Sexe

Le printemps

... choquer. Une femme que tu connais seulement depuis quelques heures et qui te fait une fellation, un peu devant tout le monde et en tout cas avec ta femme qui sait ce qui se passe.— C’est vrai, mais le contexte de leur aventure pendant le mariage le permettait. D’ailleurs dans la voiture, il m’a bien dit qu’il avait compris le message et que d’une certaine façon il en était au même point qu’Anaïs.— Oui, mais la suite, si elle existe, devra venir de lui. Enfin d’eux, si tu préfères.— Alors on attend ? C’est tout.— Pas tout à fait j’ai une idée pour faire passer le message. Viens, suis-moi et fais comme je te dis. Elle m’entraîne. Pendant notre conversation nous nous sommes déshabillés et c’est nus que nous entrons dans notre salle de bain. Valériane me fait un geste du doigt afin que je reste silencieux. De l’autre côté de la cloison, on entend de l’eau couler. Ma femme pousse un peu la porte de la trappe, cette trappe que… mais oui que seulement 24 h plus tôt je franchissais avec Anaïs… — Chérie, tu sais où sont les serviettes ? On entend assez bien. C’est donc Loïc qui s’est douché. — Fais-moi l’amour pour qu’il nous entende, Valériane me chuchote à l’oreille. Et elle ajoute : il faut le provoquer. Je ne m’attendais pas à cela. Mais l’idée est excellente. Comme je ne bande pas, ma femme s’agenouille devant moi et me caresse. Aussitôt je suis dans le jeu. — Oui, suce-moi, coquine. Suce ton mari après avoir sucé Loïc sous la table comme une salope.— Mmmm… ne peut que répondre ...

... celle qui a pris ma queue en bouche.— Il bandait fort ? Il a une belle bite ?— Mmmm… Valériane force le grondement.— Il t’a juté dans la bouche, hein, cochonne ?— Mmmm…— Je suis sûr que tu as tout avalé comme une salope.— Mmmm…— Moi je vais te baiser. Lève-toi. Contre le lavabo. Penche-toi. Écarte les cuisses. J’entre avec force. Je n’ai pas besoin de simuler. Ma queue est dure et n’a qu’une envie, se glisser dans la fente. Je pense qu’à côté Loïc a dû entendre le claquement de mon ventre contre les fesses de ma femme. — Tu dégoulines. Ça t’a excitée de le pomper !— Oui. C’était bon.— Et là si tu fermes les yeux, qu’est-ce que tu vois ? Imagine que c’est lui qui va te baiser comme une salope, appuyée contre le lavabo, ta croupe en chaleur qui se tortille.— Oui c’est lui. Et toi tu regardes.— Je regarde ?— Oui tu es à côté de moi et tu nous regardes. Oh, c’est bon. Sa queue me baise. Je coule. Tu me souris. Je sais que tu apprécies. Mais je sais aussi que… que… Je baise ma femme. Elle a les yeux fermés. Comme moi elle s’est prise au jeu. On nous écoute. Si j’étais Loïc, j’aurais appelé ma femme pour qu’elle écoute aussi. — Que, quoi ? Je rappelle Valériane à notre mission.— Loïc, continuez. Baisez-moi. Pascal nous regarde et il vous remercie de votre ardeur. Anaïs aussi regarde. Elle est fière de vous. Son mari donne du plaisir à une autre. Et après c’est nous qui allons les regarder. N’est-ce pas, Pascal ? Elle te plaît Anaïs ?— Bien sûr. Qui n’aurait pas envie d’elle ? Si ...