1. Le printemps


    Datte: 15/04/2020, Catégories: fh, hbi, couplus, boitenuit, amour, Transexuels facial, Oral fsodo, hsodo, échange, confession,

    ... ne vois pas son visage, mais la femme sourit. Elle sourit à son mari qui se fait sucer par une amie. Elle le rassure encore mieux en posant sa main sur la sienne. C’est à mon tour. Moi je m’installe en face de lui. Moi aussi je lui souris et un clin d’œil lui confirme que je ne suis pas vindicatif. La scène est tout de même surréaliste et sortie de son contexte, inimaginable. Qui pourrait croire qu’un homme se fasse pomper ainsi par une femme qu’il ne connaissait pas quelques heures avant alors que rien dans la rencontre des deux couples ne prévoyait une telle liberté ? Il est évident qu’Anaïs, Valériane et moi sommes depuis 24 h dans un tourbillon de sensualité et d’érotisme. Loïc par contre, ce n’est pas le cas. Mais ses confidences, les miennes, l’ambiance de leurs achats de lingerie ont modifié la donne. Et cette « altercation » a finalement servi de prétexte pour Valériane pour « plonger », entraînant l’homme dans son sillage. L’homme pour l’instant s’est remis de notre présence. Le regard vague, le nez pincé, la crispation des mains sont le signal de son plaisir. Lorsqu’il regarde sa femme dans une sorte d’appel au secours, il est trop tard. Mais Anaïs, très fine tacticienne, caresse le visage de son mari avec tendresse. Il jouit. C’est évident. On pourrait presque suivre chaque éjaculation sur son visage. Et un peu plus bas, juste sous la table, une bouche reçoit sa gourme. Il est évident que ma femme lui fait la totale, reproduisant ce que l’homme a imaginé de ce ...
    ... mariage. Lorsqu’elle réapparaît, Valériane fait celle qui nous découvre. — Ah, vous êtes là ! Aussitôt suivi par un : — Chéri, tu as un mouchoir à me prêter ?— Bien sûr. Tiens. Que peut-il y avoir de plus érotique, voire de pervers, que de passer un mouchoir à sa femme afin qu’elle efface les traces de son labeur sur un autre homme ? — Allons danser. Nous nous éloignons. Pas la peine de se parler. Nous regardons vers la table. Le couple joue les amoureux, ils s’embrassent. Ouf. Ma femme est une conseillère conjugale qui sait donner de sa personne. Plus tard, sur le chemin du retour, après un long silence, Loïc se lance. — Je suis désolé.— Mais de quoi ?— Vous savez bien.— Que ma femme vous a sucé ?— Oui. Enfin je n’oserais pas dire cela. Je ne m’y attendais pas du tout. Petit rire de ma part. — Je sais, il aurait suffi d’un geste.— Mais vous ne l’avez pas fait.— Non, vous m’en voulez ?— Moi ? Bien sûr que non. Je sais la persuasion de ma femme. Et je pense qu’elle a voulu vous montrer que les circonstances peuvent excuser bien des choses. En arrivant à la maison, je suis persuadé que Valériane ne va pas en rester là. Mais non. Chaque couple se salue, se souhaite bonne nuit et disparaît dans leur chambre respective. Dès que la porte est fermée, je questionne Valériane. — C’est tout ? Moi je pensais que nous irions plus loin. Dans la voiture Loïc m’a semblé assez chaud pour continuer après ce que tu lui avais fait sous la table.— Justement, reconnais que mon attitude pourrait ...
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