1. Les femmes du hammam Episode 2 : La vengeance de B


    Datte: 15/04/2020, Catégories: Anal Humour, Inceste / Tabou

    Baya et moi, nous nous rhabillâmes, après qu’elle eût constaté que près de deux heures s’étaientécoulées depuis qu’elle était entrée dans la librairie en compagnie de sa belle-sœur Djamila. Parmanque de temps – et non pas parce que j’étais fatigué, lui dis-je, par besoin de m’affirmer commeun amant extraordinaire - j’avais renvoyé à notre prochaine rencontre, ma décision de l’enculer. Lecul de Baya était tellement bandant (avec son fessier rond, bombé et haut perché) qu’il me fallaitabsolument en prendre possession. Et puis, dans ma naïveté de jeune blanc-bec inexpérimenté, je medisais que la sodomisation d’une maîtresse était la preuve pour l’homme qui la pratiquait, qu’ilétait un as du libertinage. Je n’avais pourtant pas eu le courage de lui en parler. Je remettaiscela à nos prochaines étreintes. Nous nous étions donné rendez-vous pour le samedi suivant.Nous sortîmes rapidement de la petite chambre pour nous retrouver à l’intérieur de la grande salle.Nous entendions maintenant très distinctement les cris et gémissements que faisaient Moussa etDjamila entrain de copuler. Nous nous regardâmes Baya et moi avec des yeux dans lesquels se lisaitla surprise. Nous étions tout étonnés que le couple soit encore entrain de faire l’amour. Ilsavaient pourtant commencé en même temps que nous ! Je lisais dans les yeux de ma compagne comme del’admiration et j’en fus un peu jaloux. Je me disais qu’elle faisait la comparaison entre mon frèreet moi et que cette comparaison était très ...
    ... largement en faveur de Moussa.Nous tombâmes sur un spectacle d’un érotisme plus que torride. Moussa, debout, le cul en l’air, lepantalon baissé coincé sur ses chevilles, était entrain de sodomiser Djamila, debout elle aussi,mais penchée sur le comptoir, de manière à mettre ses grosses fesses à la même hauteur que le pubiset l’immense sexe de l’homme. Tous les deux poussaient des petits cris de plaisir qui se répondaientles uns aux autres et se mélangeaient à l’intérieur de la librairie.Djamila était aussi plantureuse qu’elle le laissait transparaître sous son haïk blanc. Elle étaitmaintenant toute nue et je voyais ses chairs qui tremblaient sous les furieux coups de reins de sonamant. Moussa la tenait fermement par les hanches et la tirait en force, en ahanant comme unbucheron à chaque poussée et en gémissant à chaque retour. Je voyais les gros seins blancs et nus deDjamila qui balançaient au rythme des coups de boutoir de son amant. Elle criait elle-aussi à chaquepénétration brutale de l’immense sexe de mon frère dans son anus. Il lui faisait mal et elle le luimontrait en criant. Mais elle ne voulait pas qu’il s’arrête de la tirer. A côté de la petitedouleur, elle semblait éprouver beaucoup de plaisir de recevoir l’énorme engin de son amant. Je nevoyais pas son visage – ni celui de Moussa d’ailleurs – mais au sifflement qu’elle produisait aprèschaque cri, je devinais qu’elle salivait beaucoup, signe qui ne trompait jamais, d’une énormesatisfaction.Baya et moi nous arrêtâmes à ...
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