-
Les femmes du hammam Episode 2 : La vengeance de B
Datte: 15/04/2020, Catégories: Anal Humour, Inceste / Tabou
... environ deux mètres du couple qui n’avait pas encore remarqué notreprésence. Nous regardions les ébats du couple avec les yeux exorbités. Le spectacle nous avaitémoustillé et avait réveillé en nous le désir de refaire l’amour. Nous nous regardions en nousinterrogeant si l’on n’allait pas reprendre notre séance de copulation de tantôt. Nous n’eûmes pasle loisir de répondre à cette question muette. Les deux tourtereaux étaient entrain de montrer – parleurs cris qui s’intensifiaient et par le rythme endiablé que Moussa avait mis dans ses allers-retours dans le cul de sa belle – qu’ils étaient sur le point de jouir. Ce fut Djamila qui lapremière poussa un long cri en hurlant qu’elle jouissait :- Rani en-ferragh ! Rahi djat ! Djaaaaaaaat ! (Je décharge ! Je jouis ! Je jouiiiiiiiiiiis !)Moussa lui répondit presqu’immédiatement par un autre râle de mourant et en accélérant encore plusles va-et-vient de son engin dans le cul de Djamila. Il éjacula plusieurs fois à l’intérieur et endehors du rectum de sa maîtresse. Quand il se retira totalement, Moussa avait laissé sur le bas dudos de Djamila une véritable mare de foutre tout blanc et tout visqueux. Il y avait une autre partiequi dégoulinait de son anus et coulait le long de ses grandes lèvres, avant de retomber sur lecarrelage. Et je vis – et nous vîmes Moussa et moi - un spectacle vraiment ahurissant : Baya, lesyeux brillant de gourmandise, se précipita sur sa belle sœur pour lécher tout le sperme qu’elleavait gardé sur le bas du ...
... dos. Nous voyions sa langue rose et agile aller à la recherche de lamoindre trace de foutre et l’avaler en accompagnant son geste d’un tout petit gémissement desatisfaction. Elle alla même lécher le cul de Djamila qui dégoulinait encore du sperme que Moussaavait éjaculé à l’intérieur. Quand elle eût fini elle s’attaqua aux grandes lèvres entre lesquelleselle alla chercher ce qui restait de foutre. Pendant ce temps, Djamila se laissa faire, sans donneraucun signe d’étonnement.Moussa et moi, nous nous regardions ébahis. Nous ne savions plus quoi penser. Je savais, pourl’avoir vécu, que Baya adorait le sperme et qu’elle aimait le boire. Elle l’avait fait avec le mienmoins d’une heure plus tôt. Mais de là à se précipiter comme une folle pour avaler celui qui setrouvait sur le corps de sa belle-sœur, je ne l’aurais jamais imaginé. Nous nous disions, mon frèreet moi, que les deux femmes avaient l’habitude de ce genre de comportement. Qu’elles l’avaientpratiqué souvent. Et bien nous avions tout faux. Aussi bien pour Baya que pour Djamila, c’était lapremière fois. Une vraie découverte !Baya n’éprouva absolument aucune honte à ce qu’elle venait de faire. Djamila non plus, d’ailleurs.(En fait Djamila suivait sa belle-sœur, comme un vrai toutou. Tout ce qu’elle lui disait de faire,elle le faisait. Elle ne la jugeait jamais.)- En-mout a‘ala ezzel ! A‘acel ! (J’adore le sperme ! C’est comme du miel !) Echhrabt bezzefmennou ki kount sghira ! M’a‘a çahbi ! Ou ki chouft en-ta‘aek ou en-ta‘a ...