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Les femmes du hammam Episode 2 : La vengeance de B
Datte: 15/04/2020, Catégories: Anal Humour, Inceste / Tabou
... khouk ma en-djemt en-chedrouhi ! (J’ai bu beaucoup de sperme quand j’étais jeune ! Celui de mon petit ami ! Et quand j’ai vule tien et celui de ton frère, je n’ai pas pu résister !)Djamila, que sa nudité devant deux hommes ne semblait pas gêner, s’était entretemps rhabillée. Ellele faisait lentement, comme pour nous laisser le temps à Moussa et moi, d’admirer ses formesplantureuses qu’elle savait bandantes. Puis toutes les deux remirent leurs haïks. Nous nous donnâmesrendez-vous pour le samedi suivant et elles quittèrent la librairie, en papotant et riant,visiblement très contentes d’elles et de ce qu’elles venaient de vivre.…/…Baya était la plus heureuse ; et elle le montrait sans la moindre honte. Elle était heureuse, nonpas d’avoir joui – et superbement bien joui, m’avait-elle affirmée tantôt – mais d’avoir faitpousser des cornes sur le front de son mari. Elle avait une vengeance à réaliser et elle venait decommencer. Elle en avait fait une véritable obsession. Elle voulait lui faire payer – s’il ne lesaura peut-être jamais - toutes les années de frustration qu’elle avait passée à ses côtés, depuisune dizaine d’années.Et maintenant elle rêvait de lui faire vivre l’enfer, tout en étant consciente qu’il devait ignorerce qu’elle faisait. Elle savait qu’elle paierait très cher si elle se faisait prendre en étatd’adultère. Mourad pourrait se venger sur elle de la pire des manières qui soit : lui enlever sesenfants et la traîner devant les tribunaux qui la condamneraient à des ...
... années de prison. Ellen’avait ni métier, ni entrées d’argent qui auraient pu la rendre indépendante et l’auraient incité àdemander le divorce. Elle était donc prisonnière du bon vouloir de son mari, son geôlier. Tout cequ’elle pouvait faire, c’était de le rendre cocu et de jouir – secrètement – de la chose. Ellem’avait même avoué qu’elle faisait volontiers l’amour avec lui – chaque fois qu’il le lui demandait- rien que pour se moquer discrètement de ses pauvres capacités d’amant. Il ne faisait l’amour quedans le noir et son petit sexe était incapable de la faire jouir ou de lui donner la moindre once deplaisir. Elle comparait ses tristes ébats avec Mourad avec ceux – flamboyants - qu’elle avait avecmoi, et qui l’emportaient régulièrement vers les plus hautes cimes de la jouissance sexuelle.Djamila semblait aussi dans les mêmes dispositions d’esprit. Bien que chez elle, ce ne fut que dusuivisme. Elle adorait Baya et lui était toute acquise. Elle lui obéissait au doigt et à l’œil etelle y trouvait son compte. Elle aussi avait découvert, avec Moussa, le plaisir charnel, que sonmari ne lui procurait pas. Ils s’étaient mariés, comme la plupart des gens se mariaient à cetteépoque là : un mariage arrangé par les parents. Ali était plus beau et plus grand que Mourad. Ilétait aussi plus jeune. Mais il était tout aussi traditionnel et machiste que son grand frère. Deplus, il lui était totalement dévoué. Ils géraient ensemble un grand magasin de tissu pour robes desoirée et tenues de ...