1. Les femmes du hammam Episode 2 : La vengeance de B


    Datte: 15/04/2020, Catégories: Anal Humour, Inceste / Tabou

    ... après l’avoir enculée et que je voulais éjaculer sur sa poitrine pour qu’ellepuisse avaler mon sperme. J’avais éjaculé sur elle en me masturbant. Mais Djamila me proposait touteautre chose : elle allait me masturber avec ses immenses seins. La branlette espagnole ! Rien qu’àl’idée, j’en étais tout émoustillé.Elle vint se mettre à genoux devant moi, qui étais debout et prit dans sa main mon engin en érectionmaximale, qui frétillait d’impatience. Elle avait auparavant rempli ses doigts de mouille qu’elleavait ramassé à l’intérieur de sa chatte que je venais d’honorer quelque minutes auparavant, et semit à l’étaler sur mon sexe pour le lubrifier. Elle refit l’opération plusieurs fois avant d’êtresatisfaite du résultat. Elle en étala encore un peut à l’intérieur de ses seins puis tira sur lemembre pour l’installer entre ses immenses mamelles qu’elle pressa avec ses deux mains pourl’enserrer.- Nik-ni dhork ! Nik zouaïzi ! (Nique-moi maintenant ! Nique mes seins !)Je fis aller et venir mon engin, de bas en haut, entre ses seins qu’elle continuait de presser pourbien l’enfermer et lui donner l’impression d’une chatte ou de fesses bien serrées. Le sexe bienlubrifié glissait facilement entre ses seins et créait en moi une merveilleuse sensation depénétration. C’était comme quand je faisais pénétrer mon membre entre les fesses d’une belle femme,et qu’elle les serrait l’une contre l’autre. Et puis, je voyais le gland sortir du dessus des seinset se rapprocher de la bouche de Djamila. ...
    ... Et quand sa bouche se mit de la partie pour lécher, puissucer le gland qui sortait de dessous les seins, j’étais aux anges. Je sentais que j’allais avoir unbel orgasme et que j’allais éjaculer ce qui me restait de foutre dans la bouche de ma maîtresse dumoment. Et cela se passa exactement comme cela. Elle s’y prit tellement bien avec ses seins, seslèvres, sa langue et sa bouche, qu’au bout de très peu de temps je me mis à gémir de plus en plusfort, jusqu’au moment où je lâchais le peu de jus qui me restait. En plein dans la bouche de Djamilaqui m’envoya un merveilleux sourire de contentement et but le liquide, en me regardant des sesimmenses yeux noirs qui brillaient de gratitude.Elle m’avoua par la suite qu’elle n’avait encore jamais pratiqué la branlette espagnole, mais quedans sa jeunesse, elle avait entendue des voisines en parler. J’eus du mal à la croire tellementelle avait su s’y prendre pour maintenir très haut mon désir et me donner un immense plaisir rienqu’en serrant et desserrant ses magnifiques obus sur mon zob. Mais je savais que Djamila ne mentaitpas. Elle était simplement très douée pour les choses de l’amour : elle était faite pour donner duplaisir à ses hommes. Elle était du genre altruiste, qui cherchait avant tout à satisfaire sescompagnons. D’ailleurs Moussa ne tarissait pas d’éloges sur sa manière de toujours être à l’écoutedes besoins de son homme. Il disait d’elle qu’elle ne jouissait réellement que quand avait faitatteindre le nirvana à son homme – ...
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