1. La tour infernale


    Datte: 16/04/2020, Catégories: fh, inconnu, Collègues / Travail piscine, ascenseur, amour, Oral pénétratio, fsodo, aliments, humour, sf,

    ... de l’homme, elle vint lui taquiner la glotte. Les mains s’étreignaient, caressaient. Elle avait passé une des siennes sous la chemise et découvrait la peau du mâle. Ils glissèrent contre la paroi et se retrouvèrent assis, toujours en s’embrassant. La main de Max venait elle aussi de trouver un chemin sous le chemisier. Hip hip hip, hourrah ! JE SUIS LE ROI DU MONDE !Désolé ; je m’emporte… Tout en s’embrassant, ils se déshabillèrent mutuellement, une chemise pour une jupe, un chemisier pour un pantalon. Les mains passaient sur la peau nue ; il quitta la bouche d’Angélique pour embrasser le cou et les épaules. Elle l’aida à faire tomber son soutien-gorge. Il vint prendre les petits seins, les manipulant comme des objets précieux et fragiles, tels les vases de Sèvres qu’il venait d’acquérir de haute lutte lors d’une récente vente aux enchères. Sa bouche dorlotait tétons et aréoles, petits, clairs et tendres. Dressés et si sensibles. Il continuait son exploration, papillonnant sur le nombril et les hanches, provoquant des frissons chez sa compagne. Il égara ses doigts sous l’élastique du mignon shorty, fouillant dans une toison douce. Elle se débarrassa de son dernier vêtement avant de partir elle aussi en exploration. Sa main agrippa une barre rigide qui vibrait d’émotion. Elle la tenait fermement entre ses doigts, tel un trophée. Le boxer alla rejoindre la petite culotte. Nus tous les deux, peau contre peau, ils se caressaient de leur corps. Les phalanges fureteuses de Max ...
    ... venaient d’atteindre une tendre contrée qu’ils investirent sans rencontrer de résistance. Étonnant… se dit-il : les petites lèvres sont plus grandes que les grandes. Il déplorait cette nouvelle mode consistant à se refaire faire le minou. Des minous tristes, glabres, lisses, sans expression ni personnalité. Une jolie dentelle de chair tentait ses doigts. Les lèvres s’ouvrirent d’elles-mêmes lorsqu’un majeur vint les solliciter. Il le fit pénétrer dans le Saint des Saints déjà tout ruisselant. Elle l’invita à mieux l’explorer en écartant les jambes. Elle émit un petit gémissement et chercha de nouveau la bouche pour un autre baiser. Tout naturellement, il vint sur elle sans cesser de l’embrasser. Il caressait les petites lèvres de son gland. Il venait buter sur le clitoris, électrisant la jeune femme. Angélique se tendit, plaça le mistigri à l’entrée de sa chatière. Il ne se fit pas prier, même s’il n’entra pas telle une grosse brute. Il entra lentement, savourant chaque millimètre gagné. Instinctivement, il savait que cette jolie jeune femme devait être traitée avec délicatesse. Elle passa ses jambes par-dessus la taille de Max, position qu’elle aimait ; elle s’ouvrait et se donnait. Elle sentit ses chairs se distendre autour de la chose qui la pénétrait. Que c’était bon ! Après les épreuves qu’elle venait de vivre, il lui fallait de la tendresse, des caresses. Il venait de passer si peu de temps avec cette femme qu’il connaissait à peine ; une telle frayeur les avait étreints ...
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