Philippe
Datte: 27/09/2017,
Catégories:
fh,
couple,
grosseins,
Oral
pénétratio,
confession,
Autant mes deux premières grossesses se sont bien déroulées, sans accroc, comme du papier à musique, autant pour ma petite dernière, c’est la cata la plus totale ! En effet, je me retrouve avec un sacré problème au niveau de mes seins qui sont gonflés, énormes, carrément des baudruches ! Des gros nichons sont peut-être le fantasme de bien des hommes et de certaines femmes, mais là, trop, c’est trop ! Et en plus, mes lolos me font terriblement souffrir, c’est infernal, je suis souvent obligée de les soutenir à pleine main, c’est dire ! Avec ça, plus moyen de sortir, d’aller faire des courses, du shopping qui dure un peu. Quand j’ai une heure de répit, c’est beau ! Et mes nénés sont devenus tellement sensibles que j’ai du mal avec les soutifs renforcés ! De plus, mes tétons me font si mal que je ne peux plus donner le sein à ma petite. Un comble d’avoir des mamelles de vache et de ne pas pouvoir en donner à ma petite ! Et vous ne savez pas le pire ! Mon père, qui était féru de mythologie, m’a prénommée Galatée ! Tu parles d’un prénom dans le vent ! Ça vient du grec Galáteia, qui signifie « blanche comme du lait », un comble dans mon cas ! Depuis mon enfance, on me surnomme Galy, c’est plus simple. Non, mon mari ne s’appelle pas Pygmalion, ni Acis, mais plus classiquement Philippe, ce qui est quand même d’origine grecque. Tiens, parlons-en de mon mari ! Il refuse de comprendre mes problèmes. Résultat : on se dispute tous les jours. Il faut avouer qu’il me reproche cette ...
... grossesse que je lui ai imposée. Je sais, ce n’est pas bien. Du coup, je commence sérieusement à culpabiliser, je ne veux pas que ma petite dernière soit moins aimée que mes deux autres enfants. Elle a quand même droit à un père… — Oui, elle a droit à un père, je ne vais pas lui faire subir, à elle, ton irresponsabilité !— Mon…— Oui, ton irresponsabilité, Galy ! Je t’avais d’attendre un peu, mais non, Madame n’en a fait qu’à sa tête ! Alors, maintenant, laisse-moi digérer la situation.— Ça va s’arranger, non ?— Ça, faut voir ! Je te signale qu’on est à l’étroit dans l’appart, et que nous avons déjà des soucis avec la voiture, et ça ne coûte pas rien ! C’est déjà bien beau qu’on en ait une ! Ce qui n’est pas le cas de la plupart de nos voisins. Et coupant court à la conversation, il quitte la pièce en coup de vent. Même mes enfants me regardent d’un sale œil ! Avec cette poitrine énorme, je souffre tellement que, malgré mon aversion pour le corps médical, je me décide à consulter une spécialiste, je préfère que ce soit une femme. Celle-ci me donne un traitement censé vider mes seins de cette grosse quantité de lait. Mais voilà, rien de rien, échec sur toute la ligne au bout de presque deux semaines. De ce fait, dépitée, je consulte une autre spécialiste. Celle-ci m’affirme doctement : — Normalement, le traitement aurait dû fonctionner, mais, voyez-vous, parfois, il y a des exceptions, ça arrive…— Des exceptions ? Il fallait que ça tombe sur moi ! Et je fais quoi ?— C’est vrai que dans ...