Philippe
Datte: 27/09/2017,
Catégories:
fh,
couple,
grosseins,
Oral
pénétratio,
confession,
... mais quelle pute ! Mais quelle puuute ! Soudain, mon homme cède ! Un long râle sonore retentit tandis qu’il se décharge dans ma bouche, m’en mettant partout et abondamment. Tel un barrage qui cède, il inonde ma gorge en longues saccades gluantes. Avide, j’avale tous ces flots visqueux, que je veux conserver au plus profond en moi-même. Je sens son regard sur moi, d’autres jets explosent dans ma bouche, puis lentement, le flot se tarit, tandis que mon homme repose à présent, les bras en croix… Fin de la première étape ! Je sens que cette mise en condition va donner des idées à mon mari et qu’il ne me décevra pas. Ça m’a beaucoup plu de jouer les salopes avaleuses de foutre ! Oh oui que mon homme a eu plein d’idées, dont certaines étaient étranges, osées ou farfelues ! Mais une femme mariée et respectable se doit de ne pas en causer, sous peine d’y prendre son honorabilité ! Mais j’aime bien que mon mari me déshonore de la sorte ! À quatre pattes sur le lit, telle une vulgaire chienne, je suis en train de me faire bestialement tringler par mon mari qui me ramone à grands coups de reins bien puissants. Ça fait bien longtemps qu’il ne m’avait plus prise de cette façon peu respectable, mais ô combien excitante ! Avide, il s’empare de mes seins, de mes mamelles, devrais-je dire et les presse assez ...
... frénétiquement. Je constate avec stupéfaction que des petits jets fusent de mes tétons pour venir s’écraser sur le lit. Il faudra que je lave tout ça demain ! — Ah que c’est bon de te ramoner comme une vulgaire truie !— Oui, vas-y ! Défonce-moi !— Tout ce que tu veux ! Regardez-moi cette salope qui dégouline de partout ! De la chatte, des mamelles ! T’es en train d’en foutre partout !— Oui, oui, j’en fous partout ! Et toi, fous-moi-en partout, tout plein ! En attendant, ma chatte toujours bien limée par la bonne queue de mon homme, je me laisse faire, telle une vache prise par son taureau, mes seins ballottants se vidant sans répit. Je devrais avoir honte, me sentir avilie, salie, de me vautrer dans cette bestiale ignominie, mais je m’en fiche, voire même, je m’en fous. J’ai encore quelques jours devant moi à jouer les salopes et les putes, en espérant le rapide retour de mon homme dans trois mois. Et puis, peut-être qu’avec un peu de chance, mon mari fera des pieds et des mains pour rester, préférant me baiser chaque soir, plutôt que d’aller au loin dans un pays qu’il ne connaît pas. Oui, un pays lointain qu’il ne connaît pas, mais en attendant, c’est moi qu’il doit découvrir, explorer ! Et tant pis si je dois passer pour la dernière des catins, je vaux bien toutes les Brésiliennes de la planète !