Philippe
Datte: 27/09/2017,
Catégories:
fh,
couple,
grosseins,
Oral
pénétratio,
confession,
... ?— On trouvera une place…— Si j’étais ton mari, je me demande si je ne t’aurais pas plaquée ! Un enfant dans le dos, t’as vu ça où ?— Mais… je… j’en avais envie !— Tu es qu’une capricieuse ! T’as même pas pensé aux conséquences pratiques ! Et vas-y que tout ce monde m’enfonce ! Comme si j’avais besoin de ça ! Je sais, j’ai fait une connerie, mais j’espérais quand même un peu de réconfort. Ça va faire un bon bout de temps que mon mari et moi n’avons pas fait l’amour, alors qu’il était très demandeur avant. J’en suis arrivée à prier pour qu’il ne me trompe pas avec une collègue de travail, car ce n’est pas ça qui manque à son boulot, surtout des secrétaires ! Pour l’instant, il ne découche pas, mais il vient se coucher de plus en plus tard, à moins qu’il ne s’endorme sur le canapé ! Quelle vie de couple ! Néanmoins, il s’occupe sans problème de nos deux premiers enfants, c’est toujours ça. Mon Dieu et tous les seins du monde, aidez-moi ! C’est alors que le coup de tonnerre, que je redoutais, retentit. Les yeux grands ouverts, après avoir entendu l’annonce de mon mari, je bafouille : — Tu… tu… tu vas faire quoi ?— J’ai accepté cette mission au Brésil, elle dure trois mois. Je pars en avion dans une semaine.— Tu pars trois mois !? Mais pourquoi ?— Pourquoi ? Parce que si je pars faire cette mission, je grimperais dans la hiérarchie, j’aurais un salaire plus conséquent, et on pourra envisager de changer d’appartement, et peut-être d’acheter une maison. Un peu dépassée, je ...
... m’exclame : — Mais, je ne veux pas que tu partes trois mois !— Trois mois, ce n’est pas la mer à boire !— Si, l’Atlantique !— Très amusant, ma chérie ! Je vois que tu n’as pas perdu ton sens de l’humour ! Passons. Je te signale amicalement que si nous n’avions pas eu de troisième enfant, je ne serais pas plus ou moins obligé d’accepter de partir si loin.— Tu me reproches constamment ma grossesse ! C’est quelque chose que je n’aurai pas dû mettre sur le tapis, mon mari s’emporte aussitôt : — Il y a de quoi, non ! On en serait resté à deux enfants, on s’en sortait. Maintenant que nous sommes à cinq, il faut faire attention, il faut tout compter ! Tout ce que je te demandais, c’était d’attendre un peu ! Mais non, t’en as fait qu’à ta tête !— On… on va s’en sortir autrement…— Trop tard, j’ai signé ! Je suis choquée : — Mais… mais… pourquoi t’en as pas parlé avant ?— Quand le directeur m’a proposé cette mission, j’ai dû me décider très vite.— Tu aurais pu demander un délai de réflexion, une nuit, Phiphi, et répondre le lendemain.— Et toi, tu m’as offert un délai de réflexion quand tu as décidé d’enlever ton stérilet, tout en me faisant croire que tu l’avais toujours ? Et paf, prends ça dans les gencives. J’en ai les larmes aux yeux. Décidément, tout va de mal en pis. J’ai trop peur que cette mission soit le prélude au départ définitif de mon mari. Et puis, il y va seul ou accompagné ? Je reviens à la charge : — Il… il n’y a pas moyen que nous y allions tous ensemble, tous les cinq ?— ...