1. Philippe


    Datte: 27/09/2017, Catégories: fh, couple, grosseins, Oral pénétratio, confession,

    ... reprends espoir, mon homme m’a embrassée tout à l’heure. Par contre, je m’inquiète un peu de ce qui va arriver. Des galipettes, oui, mais lesquelles. Et même si j’ai envie, comment mon corps va réagir, mes seins surtout ? Toujours est-il que pour marquer le coup, après avoir été dans la salle de bain soutirer un peu de lait, j’ai sorti un peu de lingerie de mon tiroir spécial, celui qui peut se fermer à clé pour éviter les jeunes regards curieux. Resté dans le salon, mon mari tape trois petits coups sur la paroi qui sépare cette pièce de notre chambre. Notre code à nous, quand tout allait bien… Je réponds moi aussi par trois petits coups. Toujours derrière le mur trop fin, il demande à voix basse : — Je peux venir ?— Oui, Phiphi, tu peux venir, je suis prête. Aussitôt, j’entends son pas dans le couloir, il entre dans la chambre que j’ai volontairement plongée dans le noir. La porte à peine entrebâillée, je lui lance aussitôt : — N’allume pas, et referme derrière toi.— OK. Je l’entends qui referme la porte et pousse le verrou ; on ne sait jamais. Nous sommes à présent tous les deux dans une pièce noire comme un four, pas la moindre lumière ne perce des lourdes tentures qui recouvrent la fenêtre. De plus, dehors, par économie, l’éclairage public est éteint. À voix feutrée, je le préviens : — Attention, mon Phiphi, je vais allumer la lumière. La lampe de chevet illumine notre chambre de façon très tamisée. Surpris par ce qu’il découvre alors, mon homme s’exclame : — Houlala ! ...
    ... Il y a de quoi. Je suis agenouillée dans le lit, vêtue d’un redresse-seins noir. Plus bas, mes jambes sont gainées de bas de la même couleur et accrochés à un porte-jarretelles tout aussi sombre. Je ne sais dire si je suis sexy comme une pin-up américaine, ou si je fais plutôt pute. En tout ça, ça fait son petit effet sur mon homme. Debout devant le lit, un chapiteau assez marqué dans le pantalon, mon homme se fait un plaisir de me regarder de haut en bas et de droite à gauche. En se raclant la gorge, il finit par dire : — Je crois que j’ai eu tort de te faire la tête si longtemps…— Heureuse de te l’entendre dire… alors je suppose que tu vas rattraper le temps perdu avant que tu ne décolles pour ton trou perdu du Brésil.— Ah ça, tu peux me faire confiance ! Lentement, tout en enlevant chaussures puis vêtements, il contourne le lit, tandis que je m’allonge confortablement. Juste avant de s’agenouiller nu au bord du lit, il constate : — Et en plus, tu as oublié de mettre une petite culotte ! Vous êtes une sacrée dévergondée, Madame ma femme !— Eh oui, mon cher mari… Eh oui ! Quand j’y songe, j’aurais dû me pointer devant lui, habillée comme ça, il y a des semaines, voire des mois, et nous aurions fait la paix sur l’oreiller en toute simplicité. Je suis conne de ne pas y avoir songé plus tôt ! Comme quoi qu’on ne voit pas toujours les solutions les plus évidentes ! Sexe bien dur et pointé vers ma petite personne, mon mari s’allonge à mes côtés, posant sa large main sur un de mes ...
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