Philippe
Datte: 27/09/2017,
Catégories:
fh,
couple,
grosseins,
Oral
pénétratio,
confession,
... seins : — Je ne te fais pas mal ainsi ?— N’exagère pas dans l’autre sens, s’il te plaît ! Si tu restes raisonnable, il n’y aura pas de problème. Alors, il pose une main plus possessive sur mon sein encore bien gonflé. Il constate : — Ça te fait de sacrés pare-chocs !— Mon redresse-sein aide aussi…— Peut-être, mais ce que je sens sous mes doigts n’est pas uniquement dû à ton redresse-sein. Tu as des sacrés lolos ! Il commence à me caresser, à me tripoter délicatement. Ce n’est pas désagréable. Je lui réponds : — Oui, ils sont volumineux, mais j’aurais bien aimé qu’ils me fassent moins mal, tu sais…— Je me doute… En tout cas, avant, tes roberts étaient pas mal, mais maintenant, ils ont carrément triplé de volume ! Tripler de volume, je ne sais pas, mais doubler de volume, c’est certain. Il s’enhardit de plus en plus, puis soudain, il me questionne : — Tu crois que tes seins redeviendront comme avant ?— Je ne sais pas… mais d’après ce que j’ai cru comprendre, il y a une certaine probabilité qu’ils conservent un certain volume. Bref, je risque d’en avoir plus dans le décolleté qu’avant…— Oui… ce ne serait pas plus mal, tu sais… Là, il m’étonne un peu. Il aime les vaches à lait ? Tout en me laissant toujours tripoter, je lui demande d’une petite voix taquine : — T’es en train de me dire que t’aimes les gros lolos ?— Dans la limite du raisonnable… Un peu de lait vient de sortir de mon téton. Mon homme lève la tête vers moi : — Tu crois que je peux ?— Euh… ben… fais comme tu veux… ...
... Il penche sa tête, et lèche voluptueusement la rigole lactée qui ruisselle sur l’arrondi tendu de mon sein. Ça me fait frissonner, et c’est loin d’être désagréable ! Une fois qu’il a fini, je ne peux m’empêcher de lui demander : — Alors, c’était bon ?— Oui ! Et je vais même recommencer ! Mon mari presse voluptueusement mon sein, avalant tout le lait qui en sort. Et visiblement, il se régale ! Encore un truc auquel j’aurais dû songer plus tôt, mais il fallait que je fasse le premier pas. S’il me vide les lolos de la sorte, ça va être un plaisir, car ça m’émoustille d’avoir un gros bébé suspendu à mes tétons ! Soudain, il abandonne mon sein pour venir m’embrasser, ses lèvres maculées de lait. Je réponds fiévreusement à son baiser. Son torse presse mes seins dont s’échappent toujours quelques fins filets liquides. Quand nos bouches se séparent, puis lorsqu’il s’éloigne de moi, je ne peux m’empêcher de pouffer : — Pff, t’en as partout sur toi !— À qui la faute ?— Fallait pas m’écraser les nichons comme ça !— Oh, le gros mot !— Nichons, nénés, nibards, miches, lolos, pare-chocs, roberts, balloches, doudounes, montgolfières, mappemondes, flotteurs, fais ton choix !— Ma femme a du vocabulaire ! Je m’empare de son sexe bien dur, ce qu’il apprécie grandement. J’énumère : — Phallus, pénis, queue, tube, tige, mandrin, colonne, bite, braquemart, et j’en ai d’autres…— Il y en a un peu moins, cette fois-ci !— Je suis quand même une femme respectable !— Dans ce cas, tu tiens quoi dans ta ...