1. Panpan cucul (5)


    Datte: 19/04/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... la cyprine, l’intérieur de ses cuisses est désormais tout visqueux, l’exaspération porte ses fruits. Elle se meurt d’impatience, alors je mets fin à son calvaire et je la frappe une première fois. Je ne retiens plus mes coups, je flagelle son cul, je le chauffe, je l’enflamme. Il est écarlate et déjà les premiers bleus apparaissent. Je vais lui violacer le fion, je vais être sans clémence, elle va souffrir et atteindre l’extase. Je l’entends beugler d’ivresse, elle aime être corrigée tout comme ma mère. Je la fustige de plus en plus fort et emporté par ce faux-semblant pervers, j’abandonne toute décence, le jeu m’a pris, je ne suis plus que son enfant obscène qui va enfreindre tout les tabous moraux. A chaque flagelle je me livre, je crie à tue-tête, j’entends chacune de mes paroles résonner dans la salle. Je maltraite Gladys, mais c’est bien à ma mère que je m’adresse. « - Pour m’avoir excité ! », le fouet claque sur elle. « - Pour avoir corrompu mon âme ! », une nouvelle frappe tombe. « - Pour avoir réveillé mes vices ! », je fouette bien plus fort. « - Pour m’avoir fait me morfondre, douter puis espérer ! », ma sévérité lacère son derrière. « - Pour avoir souhaiter que j’aille jusqu’au bout de la perversion ! », je continu mes sévices. « - Pour avoir tout fait pour que cela arrive ! », je cogne sans relâche, avec fougue. « - Pour avoir fait irrémédiablement de moi l’homme de ta vie... ». Je ne peux plus stopper plus ma correction, je frappe comme un fou, plus je marque ...
    ... son corps et plus elle mugit sa jouissance. Elle se convulse devant moi, elle n’est plus que plaisir, béatitude et cela me rend heureux. Son popotin est en piteux états, couvert d’hématomes, de plaies profondes et elle n’est plus qu’un interminable orgasme impudique. Je la retourne sans ménagement, maintenant je tanne sa motte, je la zèbre sans le moindre égard, je la taillade sans charité et elle enfle sous mes yeux. J’y vais franchement je suis possédé, hypnotisé par le spectacle incroyable de ce sexe qui ne cesse pas de se boursoufler et d’être meurtri. Sa vulve n’est plus qu’une extraordinaire enflure, je lâche le manche et je m’agenouille entre ses cuisses béantes. Je plonge ma gueule dans la boursouflure, ma lécheuse retrousse ses lèvres, fouille sa fente, je lèche Maman et son jus est un délice. J’en ai plein la tronche, toute ma figure est collante, je me peux plus m’empêcher de lui bouffer la chatte, je veux qu’elle m’assourdisse les oreilles par ses beuglements d’ivresse. Je lape son con, je farfouille tout au fond, je le mordille puis très vite le mords à pleines dents, elle ne retient plus son vertige, elle n’est plus que félicité sous ma goinfrerie buccale. Son émoi m’abreuve, j’en découvre la force de ses arômes, je me régale, je m’empiffre sans pudeur et elle jouit dans de long jets drus qui giclent jusqu’aux tréfonds de ma gorge. Elle se convulse encore un peu, moi je me suis remis debout, j’attends qu’elle reprenne son souffle. J’attrape sa croupe, je la lève ...
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