Le désir
Datte: 22/04/2020,
Catégories:
fh,
ffh,
couple,
couplus,
amour,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fgode,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
RESUMÉ Roberta me défie depuis 6 épisodes, n’acceptant pas de coucher avec moi, alors qu’elle fornique avec tous les autres bipèdes rencontrés. Elle me propose même le mariage. Je la nargue en vivant calmement avec Marion, violoncelliste un peu exhibitionniste. Le désir, pourtant, me taraude, même si je ne veux pas l’avouer. VII - Le désir Je ne suis pas fanatique de musique classique, préférant le jazz ou le blues, mais quand Marion joue du Vivaldi au violoncelle, nue et sans pudeur, j’ai l’archet qui se tend. Je me mets à vibrer en rythme, à jouer sur la peau de ma verge un accompagnement vicieux, à me caresser effrontément pour humecter à distance cette fente obsédante, exposée à mon regard lubrique. Au bout d’un moment, jaloux de cet instrument qu’elle caresse voluptueusement, je remplace l’archet. Elle joue alors de mon outil, d’une main experte, en tire des sons lascifs par des étirements souples. Prend ma verge en bouche, enserre l’embouchure du gland comme une trompette, tripote mes bourses comme Miles Davis manie la sourdine. Elle pose ensuite ses lèvres sur les veines turgescentes de la tige, en joue de la flûte traversière, les doigts caressant les fesses, bouchant le trou de l’anus, générant un son plaintif, une musique extrêmement sensuelle. La symphonie de nos corps démarre en coups de timbales, mettant en route la danse des sexes qui se rapprochent et s’éloignent en accord avec le tempo de la vie. Et cette « touffe denoir-Jésus, qui ruisselle dans son ...
... berceau, comme un nageur qu’on n’attend plus… », que je chante avec Léo Ferré, clamant au public: "C’est extra !…" La pénétration de la hampe, par la porte du paradis qui, après plusieurs explorations en profondeur, là où c’est le plus sombre, explose comme un feu d’artifice dans la caverne d’Ali baba. Il est vrai que "C’est extra !…" J’en reste, encore et toujours, le souffle coupé, haletant, émerveillé que tout cela soit si bon. Un concert de musique douce parachève la volupté de nos élans, morceau de harpe en caresses veloutées des cordes de nos fesses tendues, fragments de chuintement des balais sur le tambour de nos ventres lisses, frôlements de vibraphones sur nos pubis duveteux. Marion n’en démord pas : je suisson homme, celui qu’elle attendait depuis toujours. Elle veut vivre avec moi, partager mon existence. Elle attendait un homme mûr, noiraud, avec un corps de sportif "soft", aux muscles peu voyants, une peau légèrement halée, des yeux marron, de petites oreilles bien formées, un ventre plat ou légèrement proéminent, des fesses solides et rondes, une verge de diamètre et longueur "acceptables". Et, par-dessus tout, des mains de bonne grandeur, ni trop fines, ni trop carrées, elle en fait même un critère éliminatoire, appliquant le précepte : "Montre-moi tes mains, je te dirai qui tu es !". Passé à l’examen de son oeil de lynx, j’en suis ressorti grandi, elle m’a adopté, annexé à son existence. Je n’ai plus la possibilité ni l’envie de voir quelqu’un d’autre, tellement je ...