1. Le désir


    Datte: 22/04/2020, Catégories: fh, ffh, couple, couplus, amour, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fgode, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo,

    ... suis comblé de gentillesses, d’attentions, de sourires, de caresses. Après un mois de vie en autarcie, il me semble que nous avons toujours vécu ensemble. Et c’est vrai, nous avons quasiment les mêmes goûts, les mêmes envies, les mêmes besoins, qu’ils soient sexuels, pratiques ou domestiques. Il m’arrive cependant, de temps à autre, de penser à Roberta, à sa demande en mariage. Je n’y ai pas répondu. Je laisse lâchement le temps résoudre le problème. Mais y a-t-il une réponse, une possibilité de ne pas avoir de solution ? J’attends…! C’est Marion qui me fait part d’un coup de téléphone de Roberta, demandant des nouvelles et me signalant qu’elle l’a invitée pour le vendredi suivant. Je fais un peu la moue, ne suis pas très heureux de cette perspective de rencontre, hésite, et parle ouvertement du contentieux qui subsiste entre Roberta et moi. « On lui doit bien cette invitation, c’est elle qui a provoqué notre rencontre, » me dit impérativement Marion. Et Roberta arrive, rayonnante, belle et attirante, en longue robe noire moulante, une étole turquoise cachant mal son décolleté plongeant. Marion observe ma réaction, souriante et insouciante. Je dois avouer que l’aiguillon de la fascination titille insidieusement mon regard et mes pensées. Je constate, avec évidence, mais déçu, que je suis toujours amoureux de Roberta. Son attitude hautaine m’énerve et m’attire, sa beauté me subjugue, son aura trouble la mienne. Le repas se déroule dans une ambiance de franche camaraderie. ...
    ... Marion souvent absente pour des préparations à la cuisine, le vin détendant l’atmosphère, je me hasarde à frôler le bras de Roberta, elle frissonne. Je m’approche d’elle, lui caresse les cuisses, elle se laisse faire, jubile et me tend les lèvres. Marion arrive avec un plat, esquisse un franc sourire, écarte Roberta et m’embrasse à pleine bouche. Marion tend ses seins à Roberta qui s’affaire immédiatement à les dégager de leur prison, écartant les pans de la robe, arrachant littéralement le soutien-gorge. Elle les triture, les lèche, excite les tétons qui durcissent intensément. La partie paraît bien engagée, mes deux femmes sont "à point", mais le repas n’est pas terminé. Roberta déshabille Marion, qui, un peu exhibitionniste, se plaît à déambuler nue pour nous servir et se faire caresser en nous frôlant. Avant le dessert, Marion va chercher son violoncelle et joue un slow langoureux. Je regarde Roberta, son sourire me fait fondre, je la prends dans mes bras. Tous mes souvenirs, toutes mes envies reviennent à la surface et ravivent ma passion. Nous esquissons un pas de danse, lent, voluptueux, chargé de désirs. Nos corps se frottent, nos jambes glissent l’une contre l’autre. Nos mains deviennent baladeuses. Elle m’embrasse le lobe de l’oreille et chuchote : « Mets-moi nue…! ». Lentement, je déroule l’étole turquoise. Mes yeux esquissent une chorégraphie sensuelle passant de son cou gracieux à son décolleté plongeant, de sa bouche ardente à la peau laiteuse du vallon des ses ...