1. Le désir


    Datte: 22/04/2020, Catégories: fh, ffh, couple, couplus, amour, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fgode, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo,

    ... seins. Je descends la fermeture Eclair de sa robe, glisse le tissu de ses épaules, fais tournoyer ma danseuse et regarde avidement cette étoffe soyeuse glisser sur sa peau. N’ayant pas mis de dessous, elle se retrouve nue devant moi. Nous continuons de danser voluptueusement, mon désir grossit fortement mon slip. Je suis hypocritement enchanté de la tournure des évènements et observe Marion, jouant de son instrument, les yeux baissés, un sourire peut-être un peu triste sur les lèvres, le sexe béant, brillant de cyprine humide. Roberta se détache de moi, annonce: « Passons au dessert ! » Quel spectacle, mes amis : deux femmes en tenue d’Eve évoluant autour de la table, profitant de la moindre occasion pour se lever, me frôler, tendre leurs seins vers mes yeux ébahis, laisser tomber une serviette ou un couteau pour me faire admirer leur croupe. Elles en profitent souvent pour se caresser, s’enlacer, s’embrasser comme deux lesbiennes amoureuses. Mon pantalon va exploser, je ne tiens plus la distance et leur fais partager mon souci. Marion s’approche de moi, m’embrasse goulûment et enlève mon pull. En même temps, Roberta s’occupe de ma braguette, de mon pantalon, de mon slip, puis rive sa bouche sur ma verge, offrant un écrin de velours à la peau de mon gland. Je suis aux anges et le clame haut et fort. Marion tourne autour de nous, se glisse entre Roberta et moi, frotte ses seins sur ma poitrine, ses tétons turgescents prêts à griffer, colle sa bouche sur la mienne et s’empale ...
    ... sur mon sexe dans un grand bruit succion. Roberta n’est pas en reste, elle lèche mes bourses, ma hampe, la fente de Marion, son périnée, la raie de ses fesses, la rosace de l’anus, s’y arrête et d’un mouvement de rotation pénètre sa langue dans le conduit étroit. Marion exulte. Roberta se lève, se dirige vers son sac à main, en retire un objet de plastique vert, avec ceinture, qu’elle ajuste à sa taille. Avait-elle prévu nos copulations et préparé ce godemiché en vue de nos ébats ? Elle approche le phallus artificiel de l’oignon offert, titille l’entrée de l’anus et s’y enfonce à la lenteur de l’escargot. Marion, prise par les deux trous, se cambre, agite sa tête, frotte ses seins sur mon torse, se contorsionne, entame un mouvement de va-et-vient sur ses deux queues. Elle décharge bruyamment en haletant, provoquant l’explosion de mon sperme au fond de sa matrice. Rapidement, Roberta, continuant ses mouvements de va-et-vient sur la longueur de son manche synthétique, agrippant les seins de Marion, se met à jouir aussi, mugissant comme un bœuf en rut. Repus, heureux, nous prenons le café dans le plus simple appareil, entrecoupant cette pause d’effleurements, de caresses, d’embrassades, d’enlacements. J’essaie de m’occuper à temps égal de l’une et l’autre de mes femmes, qu’il n’y ait pas de jalousie. Roberta en profite pour nous démontrer le fonctionnement de son godemiché spécial. Il possède, en effet, une deuxième verge que le porteur s’introduit dans le vagin avant de fixer la ...