Severin philosophe
Datte: 22/04/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
profélève,
Collègues / Travail
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
hdomine,
soubrette,
humilié(e),
sm,
fouetfesse,
conte,
initiatiq,
bourge,
... lève, gêné et honteux de devoir exhiber son pantalon déformé par sa nouvelle érection. — Vous avez les oreilles sensibles… En tout cas, vous allez réussir votre entrée ! Il se tourne, non sans avoir une dernière fois jeté un regard avide sur le décolleté de la jeune femme. Son sexe se redresse à nouveau, mais au point où il en est… ---------------------- Pendant que Severin est occupé à faire circuler le sang dans les diverses parties de son corps, M. Hill est arrivé dans son havre, son bureau de Directeur des Ressources Humaines de ce grand groupe industriel. Ici, il est dans son domaine. Il est craint, et il aime ça. De plus, sa journée débute par un rendez-vous un peu insolite. La mère, ou plutôt, belle-mère d’un jeune stagiaire qui a, selon plusieurs de ses employées, eu une attitude déplacée. Il aurait pu se contenter de mettre un terme au contrat de ce garçon, mais il connaît le père et l’occasion pourrait être trop belle. Il préfère régler le problème personnellement. La dame est arrivée. Vêtue avec élégance d’un tailleur de couleur pastel, saumon, les cheveux relevés en chignon et chaussée de hauts escarpins, elle se présente à la secrétaire. Une femme d’une cinquantaine d’années, qui la fait asseoir dans un coin de son bureau, lui demandant de patienter. Un peu nerveuse et gênée par le silence de la pièce, elle croise et décroise ses longues jambes puis rougit en surprenant le regard de la secrétaire qui est venu se poser sur ses cuisses découvertes par la jupe. La ...
... façon qu’elle a de regarder, amusée, ses longues jambes tient plus de l’évaluation que de l’admiration… Enfin la porte s’ouvre. La secrétaire invite Mme Mounier à rentrer. Elle se lève, lisse d’un geste sa jupe droite et pénètre dans le bureau. Elle est accueillie par ce M. Hill, dont son mari lui a parlé avec une once de mépris, mais qu’elle trouve plutôt séduisant, assis derrière son bureau. Elle est un peu surprise par la taille de la pièce, et par l’attitude de cet homme qui la détaille sans gêne pendant qu’elle s’approche de lui. Ce genre de situation n’est pas pour lui déplaire d’habitude : elle connaît bien les hommes et l’effet que sa silhouette, notamment dans ce tailleur, produit sur eux. Et elle aime leur trouble. Mais ici, c’est elle qui est gênée et qui reste immobile une fois arrivée devant ce bureau. Elle en regretterait presque d’avoir mis cette jupe un peu trop moulante, ces escarpins aux talons hauts qui ont fait se retourner les hommes dans la rue. M. Hill est installé sur son fauteuil, les deux coudes appuyés sur les accoudoirs en l’observant, un demi-sourire sur les lèvres. — En vous voyant, Madame, je comprends mieux l’attitude du jeune Pierre. Mais asseyez-vous. Le seul siège disponible est une chaise disposée presque au milieu de la pièce. Mme Mounier y prend place. Elle va croiser ses jambes, mais se rappelant le regard de la secrétaire, elle se ravise. Encore une fois, elle se demande ce qui lui arrive : l’idée de jouer de ses jambes dans ce bureau, ...