1. Severin philosophe


    Datte: 22/04/2020, Catégories: fh, inconnu, profélève, Collègues / Travail fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, soubrette, humilié(e), sm, fouetfesse, conte, initiatiq, bourge,

    ... la jupe. Il tapote doucement sur ses cuisses, elle se plie à cet ordre muet et écarte doucement les jambes en fermant les yeux. — Allons, cette culotte, sur mon bureau, maintenant. Il se recule un peu, appuyé sur le bord du bureau. Elle jette un bref regard derrière elle pour s’assurer que la secrétaire n’est pas entrée. Elle souffle comme pour reprendre un peu le contrôle de la situation, jouant la femme qui satisfait aux caprices du mâle pervers. Il l’observe, pendant qu’elle se tortille dans sa jupe droite pour ôter sa culotte. Penchée ainsi en avant, il n’ignore rien de son généreux décolleté que ses mouvements mettent davantage encore en valeur. Elle essaie maladroitement de ne pas remonter trop haut la jupe, ce qui ne fait qu’augmenter ses délicieux tortillements et prolonger la durée de cet exercice honteux. La culotte apparaît enfin, glissant sur ses jambes. Elle les soulève l’une après l’autre et garde la culotte dissimulée dans sa main, le regard baissé, la respiration accélérée. Est-ce l’effort ou bien cette terrible sensation d’excitation, en tout cas, cela aussi ne fait qu’augmenter son propre plaisir à la contempler. La tête baissée, debout, le chignon toujours impeccable, mais la veste du tailleur un peu trop écartée, la gorge que sa respiration fait gonfler, la jupe droite moulante qu’elle s’efforce encore de lisser, plantée sur ses escarpins à talons aiguilles. — Montrez-moi cette culotte, madame. Et ne me forcez pas à venir la chercher ! Sans lever les ...
    ... yeux, elle brandit la culotte qu’elle vient d’ôter. Une magnifique culotte, qui pour être moins échancrée que le slip brésilien, n’en est pas moins indécente par ses arabesques de dentelle. — Guêpière, bas, culottes indécentes ; votre chignon et votre tailleur peuvent faire illusion ailleurs, mais pas ici, madame. Elle est debout devant le bureau, les sens en feu. Elle jette un regard perdu vers ses culottes, redoutant ce que les récupérer va lui coûter. Elle se penche, prête à saisir les culottes, mais aussitôt, la piqûre de la cravache lui fouette les fesses. La femme sursaute en poussant un cri de douleur, et de stupeur. — Ne faites pas l’idiote avec moi. Il pousse son avantage et la force à se cambrer davantage en tapotant ses reins de la cravache, dont elle connaît maintenant le pouvoir. L’excitation est toujours là, à son grand désarroi, mais accompagnée maintenant d’une certaine peur. Tout cela ne fait qu’augmenter ses frémissements. — Troussez-vous. Elle va parler, protester, mais le regard du directeur ne lui laisse aucun doute sur sa réaction. Et puis, le désir est toujours là, malgré elle, à lui dévorer le creux des reins. Elle se penche légèrement, saisit les bords de la jupe et la retrousse, beaucoup plus lentement qu’elle ne le voudrait. Elle est obligée de se tortiller, mais enfin, la croupe nue apparaît, encore plus blanche et offerte, encadrée par les bas, les jarretelles et la jupe de son tailleur troussée. Il ne peut réprimer une érection, qu’il essaie malgré ...
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