1. Mon initiatrice au métier d'ostéopathe


    Datte: 23/04/2020, Catégories: ffh, grossexe, Collègues / Travail Oral pénétratio, historique,

    ... tétanise. Les testicules sont remontés de chaque côté de la tige imposante. Juliette entoure de sa main droite le sexe vertigineux de rectitude, infaillible d’arrogance, vertical au point que, dressé comme il l’est, le gland frôle le ventre au-dessus du nombril, et démarre une masturbation lente. Sa deuxième main ne reste pas inactive et malaxe ses énormes boules. Elle s’applique à tirer la peau complètement vers le bas. Cette fois, le gland monstrueux est entièrement décalotté. Puis elle remonte la main le long du gland, sans que la peau accompagne le mouvement, ce qui fait que la paume caresse le gland nu. À l’inverse, pour chaque mouvement vers le bas, elle serre fort le membre et tire sur le frein à la limite de sa résistance. Le gland maintenant est violet, paraissant grossir encore et toujours, le sexe s’allonge et s’épaissit encore, ses doigts n’en font pas le tour, Patrick a à présent fermé les yeux, convaincu d’avoir atteint le point de non-retour. L’excitation qu’il ne contrôle plus lui fait onduler le bassin, comme pour participer à la masturbation qu’il subit. À un spasme plus accentué, il comprend qu’il va jouir de nouveau. Aussi se redresse-t-il se retirant du brûlot de la bouche de Juliette et abaisse son membre, non sans difficulté, car d’une raideur stupéfiante, jusqu’à l’horizontale se branlant comme un fou d’un ample mouvement alternatif, pointant son gland à quelques millimètres de mon pubis. L’engin se met à gicler, je me pince les tétons des deux mains ...
    ... pendant qu’il m’inonde copieusement. Son premier jet est si puissant qu’il passe au-dessus de mon corps allant encoller le mur. Je n’en reviens pas et m’exclame : — Oh mon Dieu, ce n’est pas possible ! Ses jets sont d’une puissance folle malgré sa précédente éjaculation, cinq longues giclées s’envolent de son chibre et maculent mon corps de longues traînées blanchâtres qui s’écoulent sur mon corps du pubis aux cheveux. Je suis littéralement couverte de foutre. Quelques secondes plus tard, Patrick exulte, sa main tenant son calibre qui décidément ne fléchit toujours pas libérant ses derniers jets : — Tu me fais tellement de l’effet que j’ai joui à mort, regarde, elle continue de bander rien que pour toi ! Je le supplie de me baiser. Il sourit, debout devant moi, la bite à la main il place son vit à l’entrée de ma vulve. Mais il n’a pas envie de me satisfaire tout de suite. — Je n’en peux plus, baise-moi s’il te plaît, mets-la-moi ! Il fait aller et venir sa longue queue le long de mes lèvres, agace mon clitoris, reprend sa caresse le long de ma vulve, la frappe avec sa queue. Puis enfin, il positionne le gland à l’entrée de la vulve et pousse doucement, faisant disparaître le gland dans ma chatte, puis se retire, recommence son manège encore et encore. N’en pouvant plus je crie : — Vas-y baise moi, plante-la-moi bien profond, défonce-moi ! Accédant à mon désir, il pousse un peu plus fort, sa queue entre davantage en moi. Elle est si large ! Même mouillée comme je le suis, je la ...
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