La fille des glaces
Datte: 25/04/2020,
Catégories:
h,
fh,
hagé,
bizarre,
amour,
fsoumise,
humilié(e),
contrainte,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
sf,
fantastiqu,
merveilleu,
merveille,
amourdura,
... Rochat tourna vers lui un visage transformé. Il tenait toujours le visage de la statue entre ses mains. Ses yeux avaient quelque chose de différent… Il répondit, avec une expression des plus polies : — Je vous écoute, d’Arouet, n’en doutez pas. D’Arouet hésita un instant, puis, comme il n’était pas convaincu par ses propres arguments et qu’il trouvait un certain plaisir à observer Rochat sans en avoir l’air, il baissa les yeux sans répliquer et reprit sa lecture. — Cibog était un dieu orgueilleux. La frigidité de Zaria semblait être la seule chose sur laquelle il ne pouvait agir, et il ressentait une immense frustration de ne pouvoir dominer sa femme par le plaisir. Il se sentait diminué. Il considérait tout cela comme un manque de respect de Zaria, que de ne pouvoir jouir. Il était jaloux du mortel auquel, il le savait, Zaria pensait toujours. Il décida alors d’humilier totalement son épouse pour se venger et pour lui faire payer le fait qu’elle ne voulait pas lui offrir son plaisir. Il l’offrit comme une prostituée à ses compagnons, aux compagnes de ses compagnons, et à qui la voulait, avec un défi à relever : une récompense était promise à celui ou celle qui parviendrait à faire jouir sa femme. Zaria s’emmura alors totalement dans le silence. Durant des mois, des années, elle dut subir les assauts de dizaines de dieux, demi-dieux, elfes, masculins et féminins, son mari l’offrait à tous ceux qui voulaient d’elle, un à la fois ou tous ensembles, selon son humeur. Il ...
... assistait à tous les ébats, il y participait même activement parfois. Il cherchait une trace de jouissance sur le visage de sa femme qui subissait toutes sortes d’expériences sous ses yeux pervers. Mora, la compagne du dieu Zitt s’était prise au jeu et venait régulièrement chez Cibog pour lécher le clitoris de Zaria. Elle aimait le goût de ce sexe insensible qu’elle imaginait tressaillant de plaisir sous ses savants coups de langue. Elle aimait surtout que Cibog la sodomise alors qu’elle avait la bouche enfouie dans la chatte de sa femme. D’autres apportaient des instruments divers, fabriqués par eux ou volés chez les humains. Une sorcière fabriqua toutes sortes de potions aphrodisiaques qu’on administrait chaque jour à la déesse. On orna ses tétons de pinces métalliques amenées de Chine impériale, afin de les exciter en permanence. On introduit dans son sexe et dans son anus, séparément ou ensemble, un nombre incalculable de sexes et d’autres choses, on la caressa, on la lécha, l’embrassa, la pénétra dans tous les sens, dans toutes les conditions, sans pouvoir susciter autre chose qu’un regard indifférent et un air absent. Rochat caressait toujours le visage de la statue. Il se sentit irrésistiblement attiré par cette bouche entr’ouverte et, comme hypnotisé, y colla ses lèvres et ferma les yeux. Il se produisit alors en lui un chamboulement terrible. Quelque chose pénétra en lui, se fondit en lui, et c’était elle, il se sentait comblé. C’étaient ses pensées, ses émotions, sa peur et ...