La fille des glaces
Datte: 25/04/2020,
Catégories:
h,
fh,
hagé,
bizarre,
amour,
fsoumise,
humilié(e),
contrainte,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
sf,
fantastiqu,
merveilleu,
merveille,
amourdura,
... (il avait largement l’âge d’être son père) la demanda en mariage, l’invita à partager sa vie et ses voyages en mer vers le froid, la neige et les glaciers. Elle accepta ce projet avec joie, comme quelque chose de normal et de naturel, puis, elle disparut totalement, sans aucune explication. Elle avait dit être seule au monde, et vivre d’un héritage confortable – en effet, elle ne manquait de rien. Elle ne parlait jamais de son pays d’origine. Elle semblait fuir un passé pénible et Rochat, en homme délicat, avait renoncé à l’interroger sur ses origines et sa vie avant leur rencontre. Lorsqu’elle disparut, Rochat, désespéré, se rendit compte qu’il n’avait absolument aucune piste exploitable qui lui permette de la retrouver. Pour surmonter sa douleur, il s’enferma dans un vide d’émotions et s’interdit de penser à elle. Au bout de quelques temps, il y parvint, mais son cœur était mort. Il revint à lui lorsqu’il sentit la bouche de glace qui lui rendait son baiser. L’expression du visage de la statue avait changé, il semblait être plein d’espoir… Les traits étaient figés dans une position d’attente. Rochat se sentait envahi par le bonheur. Il se sentait plus exalté que jamais. Ses mains redescendirent vers la généreuse poitrine de la femme de glace et il se mit à la pétrir doucement. Il pensa : — Zaria, ma belle, je suis ton Amour. Elle l’entendit et vit clairement le visage de glace se détendre dans une expression de bonheur. D’Arouet avait observé à la dérobée une partie du ...
... manège, il n’en revenait pas de voir Rochat embrasser cette statue et lui pétrir les seins. Il bandait comme un âne, surtout après la lecture qu’il venait de faire, mais il ne se serait jamais rendu coupable d’un tel manque de maîtrise de soi lorsqu’on a un public. Il était soufflé du culot de son estimé collègue ! — Continuez votre traduction je vous prie, d’Arouet. Rochat avait formulé sa demande sans même regarder son interlocuteur. Il tenait un sein de glace dans chacune de ses mains nues, et de ses pouces et de ses index, il caressait délicatement les aréoles et taquinait les tétons. D’Arouet ressentit alors de la peur. La glace changeait clairement de texture et de couleur aux endroits que Rochat avait excités, il le remarquait maintenant, la statue était en train de subir une évolution. Il faillit céder à la panique : toute l’absurdité de la situation lui sauta aux yeux, et il était sur le point de se lever d’un bond lorsque la voix de Rochat retentit de nouveau : — Cette histoire est fascinante, d’Arouet, je vous en prie, traduisez-en la suite. D’Arouet, interrompu dans son élan, hésita un peu, mais, toujours troublé, choisit d’obéir, se rassit par terre et reprit sa traduction où il l’avait laissée. — Au fil du temps, les compagnons de Cibog, fascinés par l’inertie de Zaria, avaient désespéré de la faire jouir et d’obtenir la récompense. Ils avaient fini par se servir d’elle comme d’un pur objet sexuel corvéable à volonté, avec qui tout était permis sous le prétexte ...