1. Journal d'une pucelle provisoire


    Datte: 28/04/2020, Catégories: Première fois

    ... l'horizon. Enfin, façon de parler car quand on se balade tous les trois à Londres, j'en ai vu qui me tournaient autour. Il faut dire que je suis pas mal, dans le genre brune aux yeux bleus. Je trouve juste mes seins un peu petits, surtout si je les compare à ceux de Debbie, que Peter aime tant palper, caresser. J'en ai parfois des frissons. Bon, j'arrête là, je me fais du mal et il est l'heure d'aller au lit. Espérons que mes hôtes seront discrets, pas comme hier soir. J'entendais le lit grincer d'ici entre deux cris de Debbie... Dimanche 7 juillet Quelle journée ! Elle fera date dans ma mémoire. Aujourd'hui, il faisait un temps dégueu et mes hôtes ont décidé de rester à la maison. J'ai bossé mes cours par correspondance le matin et l'après-midi, on a commencé une partie de monopoly. Et puis, soudain, après s'être gentiment chamaillés pour une histoire d'achat et de vente, mes hôtes se sont encore embrassés et pelotés puis ont tout laissé en vrac pour aller dans leur chambre. C'est à se demander s'ils ne rattrapent pas le temps perdu, peut-être parce que leurs gosses sont partis. Mais là, mue par une force irrépressible, j'ai voulu en savoir plus. J'ai d'abord écouté à la porte, essayé de regarder par le trou de la serrure mais la clé était à l'intérieur. Et puis, j'ai vu un petit cellier à côté de la chambre et, ô surprise, une lucarne qui donnait justement sur l'intérieur. Il avait un escabeau dans le local. Je l'ai déplié avec prudence et suis monté dessus. Et j'ai ...
    ... regardé. Mon Dieu ! Debbie était à quatre pattes en travers du lit, face à moi et Peter debout derrière elle, les mains sur ses hanches, en train d'aller et venir. Ce qui m'a le plus surprise, c'était le visage de Debbie. Il irradiait de bonheur. Elle se léchait les lèvres et prononçait quelques mots que j'avais du mal à entendre mais surtout à comprendre. Le visage de Peter, au contraire, était tendu, crispé. Je l'avoue, j'ai admiré son torse, très musclé, très sec. Vraiment un mec bien foutu. Parfois, Debbie se retournait pour l'apostropher ou le regarder, je ne sais pas. Et puis, il a accéléré le rythme. C'était presque violent. Debbie s'est mise à gueuler, je l'ai nettement entendu dire "fuck ! fuck !" tout en remuant son gros derrière et Peter s'est effondré sur son dos. Le couple s'est désuni et j'ai vu le sexe de Peter, incroyablement long et gros. Je n'avais jamais vu un homme en érection et encore moins un couple faire l'amour. J'étais toute rouge, toute humide, j'avais honte de ce que j'avais fait et en même temps, je n'aurais cédé ma place en haut de l'escabeau pour rien au monde. Je suis vite descendue et heureusement car à peine sortie, ils quittaient leur chambre pour aller prendre une douche, complètement à poil l'un et l'autre, sans la moindre gêne de ma présence. Peter n'avait même pas débandé. Je les ai attendus près du Monopoly et ils ont repris la partie comme si de rien n'était. Ils se sont juste excusés de leur absence en m'expliquant, à ce que j'ai pu ...
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