Journal d'une pucelle provisoire
Datte: 28/04/2020,
Catégories:
Première fois
... contre ma vulve m'a procuré une sensation inédite et je me suis abandonnée à elle. Puis Debbie a sorti un tube de gel et après avoir branlé Peter puis recouvert d'une capote, a enduit son sexe de la crème, en particulier le bout. "Cool !" m'a-t-elle dit avec un doux sourire. Peter s'est mis sur moi, bras tendus, entre mes cuisses et j'ai senti le bout de son sexe se frayer millimètre par millimètre un petit passage, se retirant, rentrant... jusqu'à ce qu'enfin, je sois pénétrée. Sur le coup, j'ai crié. J'avais eu un peu mal et il s'est retiré à nouveau puis est rentré encore, cette fois plus profondément. Alors, un intense bien être m'a envahie. C'était comme si j'attendais cette présence depuis longtemps en moi. Il m'a fouillée tranquillement puis de plus en plus vite et j'ai suivi la cadence comme je l'avais vu faire par Debbie. Je sentais sa petite main qui caressait les bourses de Peter entre mes cuisses. Mais au moment où je sentais monter quelque chose de fort, de nouveau, qui était sans doute l'orgasme, Peter s'est retiré. J'étais un peu déçue, d'autant qu'il a renversé Debbie sur le lit, l'a pénétrée aussitôt et lui asséné de grands coups de reins, bien plus violents que pour moi. J'en ai conclu qu'il avait ménagé mon intimité toute fraiche et je lui en suis reconnaissante, c'était très délicat de sa part. Debbie, elle, était bien plus habituée à son gros calibre et ils ont joui ensemble très vite. Ils s'entendent merveilleusement au lit. Ah si je pouvais trouver ...
... plus tard un Peter... Mercredi 31 juillet Me voilà dans l'Eurostar, prête à repartir à Paris. Quand je repense à ce mois de juillet, spécialement les dernières semaines, je considère que j'ai changé d'ère. J'étais partie jeune fille, je reviens jeune femme. J'étais partie pucelle, je reviens initiée aux choses du sexe au terme de ce qu'on pourrait appeler un stage intensif. Je ne suis sans doute pas la première à avoir laissé son pucelage en Angleterre, mais à ce point, on ne doit pas être légion... Dès le lendemain de ce 14 juillet historique pour moi, Peter, Debbie et moi, on s'est mis à jouer. Des jeux un peu spéciaux, cela va sans dire : tous les trois à poil sur le lit conjugal, à se suçoter, se léchouiller, se caresser etc. J'ai appris qu'on pouvait faire l'amour à trois. Enfin, disons plutôt baiser puisque c'est le mot français qui correspond à "fuck". Peter étant l'homme unique, on cogitait avec Debbie des positions où il pouvait nous satisfaire en même temps. N'empêche : on se bousculait un peu pour s'empaler sur son pieu dressé. Debbie a été une très bonne prof. J'ai vite appris le cheval, si j'ose dire. Tellement que j'avais tout le temps envie de baiser. Il faut dire que Peter avait viré sa capote et j'ai senti tout de suite la différence dans mon déduit tout frais ouvert. C'est sans doute pour ça que j'étais si sensible. J'ai vu Debbie se faire sodomiser en direct live mais j'ai décliné la proposition car pas encore assez mûre. Cela viendra en son temps. Pendant une ...