Soumettre Nicolas
Datte: 26/06/2017,
Catégories:
f,
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
fépilée,
hsoumis,
fdomine,
humilié(e),
chantage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
facial,
nopéné,
sm,
journal,
hsoumisaf,
... me passe le suivant. Du coin de l’œil, je le regarde. Il est fasciné par ce qu’il voit : mon sexe entièrement nu, contre lequel mes cuisses se frottent de par les mouvements que je fais. Il peut ainsi voir mon pubis totalement lisse, ce qui n’était pas le cas la dernière fois qu’il l’avait vu, et peut-être même, quand mes cuisses s’écartent un peu plus, entrevoit-il quelques gouttes qui perlent le long de mes lèvres. J’ai rangé une partie des dossiers, Nicolas ne quitte plus ma chatte des yeux. J’ai envie d’en jouer. Maintenant qu’on en est là… Une autre partie de ce qu’il me reste à classer doit être mise sur l’étagère d’en face, de l’autre côté de l’allée. Au lieu de redescendre et de déplacer l’escabeau, je décide de m’appuyer sur Nicolas. — Nicolas, je dois ranger les dossiers ici. Ça te dérange si je m’appuie sur ton épaule ?— N… Non, non ! Avec un air innocent, je déplace donc mon talon et vient caler ma chaussure sur lui. Dans cette position, il peut donc avoir une vue parfaite sur mon entrejambe, il lui suffit pour cela de lever la tête. Un instant, j’imagine une goutte tomber de ma chatte et s’écraser sur ses lèvres. Je me concentre sur mon rangement, je place un à un les dossiers et entre chaque, je m’assure que Nicolas a bien la tête relevée et ne perd pas une miette du spectacle. Il est rouge pivoine, mais effectivement, semble fasciné par la vue. Est-ce qu’il voit mon clitoris, coincé entre les lèvres ? Voit-il mon sexe luire de plaisir ? Peut-il voir mon ...
... anus entre mes fesses légèrement écartées du fait de ma position ? Je me pose toutes ces questions et je sens une chaleur moite se répandre dans mon ventre. Lorsque j’ai fini mon rangement, je baisse les yeux vers lui et je lui dis, tout en me dégageant : — Mais c’est pas vrai ! Je rêve ! T’es en train de mater sous ma jupe ! Depuis tout à l’heure en fait !— Euh, non je…— Ne mens pas, je t’ai pris en flagrant délit. Petit dégueulasse ! T’es en train de me mater, moi, ta chef ! J’y crois pas…— Je suis désolé, c’est…— Désolé ? Mon cul, ouais ! T’es en train de me reluquer la chatte depuis dix minutes, t’avais pas l’air désolé, excuse-moi !— …— Putain, mais j’hallucine…— Je m’excuse, je…— Ça t’a plu au moins ?— Quoi ?— J’espère que t’en as bien profité ! Réponds-moi !— Euh… oui, ça m’a plu… Il ne sait plus où se mettre le pauvre. Je continue : — Putain, mais j’en reviens pas… Pervers ! Dis-moi ce que t’as vu !— Je…— Allez !— J’ai vu que vous… que tu… enfin, que tu ne portais pas de culotte…— T’as maté ma chatte quoi ?— Oui… je suis désolé…— Et mon cul aussi…— Oui, j’ai tout vu… mais je…— Baisse ton pantalon.— Qu… pardon ? Il n’est pas sûr d’avoir bien entendu. Je prends un air si sévère qu’il vaut mieux ne pas me faire répéter. Alors, humilié, il déboucle sa ceinture et fait tomber son pantalon à ses genoux. Je me suis assise en face de lui, sur les marches de l’escabeau. Son sexe gonflé forme une bosse qui tend le tissu de son caleçon. — Tu bandes, évidemment.— …— Sale vicieux. ...