Soumettre Nicolas
Datte: 26/06/2017,
Catégories:
f,
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
fépilée,
hsoumis,
fdomine,
humilié(e),
chantage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
facial,
nopéné,
sm,
journal,
hsoumisaf,
... Voyeur. Dis-moi franchement, ça t’excite de mater ta boss comme ça ?— O… Oui.— JE t’excite, c’est ça ?— Oui.— Ok. Sors ta bite. Tu m’as matée, y a pas de raison que je n’en profite pas un peu.— Je ne sais pas si…— Écoute, tu as deux solutions. Soit tu sors ta bite tout de suite et tu te branles, soit tu refuses et dans ce cas, je vais raconter à la directrice ce qu’il s’est passé. On te foutra à la porte et tu devras finir ton stage ailleurs. J’ai le droit de me venger, tu m’as offensée et je vous connais, les mecs, si je n’ai pas un moyen de te faire taire, tu iras raconter partout que tu as vu ma chatte. Alors décide-toi vite, je te laisse une minute. Nicolas est mortifié. Je vois qu’il tremble, mais cela n’a pas l’air de casser pour autant sa libido. Le sexe est toujours aussi gonflé sous le tissu. En silence, en serrant les dents, il baisse également son caleçon qui rejoint son pantalon autour de ses chevilles. Son sexe m’apparaît. Un sexe d’adolescent : assez long, mais plutôt fin. Des poils bruns à la base du pénis. — Branle-toi. Il porte sa main à son sexe et commence à décalotter le gland. Celui-ci m’apparaît, rouge, gorgé de sang. Il commence à faire des mouvements de va-et-vient avec sa main en serrant la base de son pénis. Sa respiration s’accélère. Pour ma part, j’ai une envie furieuse de le prendre en main, en bouche, de relever ma jupe et de porter ma main à mon sexe. Je me contente de décroiser les jambes, ce qui a pour effet de remonter le tissu et de ...
... dévoiler à son regard mon sexe qu’il a tant maté tout à l’heure. Je joue à écarter les cuisses, je le laisse voir mais je ne touche pas. Il se branle maintenant plus vite, très vite même. Son sexe est à hauteur de mon visage, à un mètre peut-être. Il halète, il se crispe soudain. Alors, avant même que je n’aie pu faire d’autre geste que de fermer la bouche, une giclée de son sperme chaud vient s’écraser contre mon visage, puis d’autres giclées, jusqu’à ce que les spasmes de l’orgasme s’atténuent. J’en ai plein sur et autour de la bouche, ainsi que sur les joues. — Putain, Nicolas… tu viens de me jouir sur le visage. Je n’accepte pas ça ! Vraiment, tu es désolant… Nettoie tout de suite. Il semble chercher un mouchoir dans ses poches. — Non, avec ta langue. Il s’arrête, gêné. Il n’a probablement jamais goûté son sperme. Alors, un peu hésitant, il s’approche de mon visage et passe sa langue sur ma joue. Consciencieusement, il me lape la peau. Je le laisse faire, sans montrer aucune réaction. En réalité, je suis brûlante d’excitation. Lorsque sa langue passe sur mes lèvres, je dois me battre pour ne pas les entrouvrir. Mais je dois conserver ma dignité de dominatrice et je n’esquisse pas la moindre possibilité de suggérer un baiser. Sa langue passe, puis finit de me nettoyer. Alors, après une seconde d’hésitation, il revient vers ma bouche. Sa langue tente d’écarter mes lèvres pour esquisser un baiser, mais je refuse de desserrer les dents. Au contraire, je m’écarte et je le gifle ...