la ferme de Paul
Datte: 01/05/2020,
Catégories:
Gay
... de son torse, glisser mes mains sur son ventre, tenir enfin ce sexe tant de fois convoité. Il était dur, et doux à la fois. Je faisais des mouvements de va et vient, décalottant ce gland devenu luisant. Je pouvais tout explorer, mes mains soupesaient ses superbes testicules, glissant sur ses cuisses. Je pouvais caresser ce dos si musclé pour descendre vers ses fesses. Je caressais ses deux lobes sans oublier cette raie couverte de poils.Paul n’était pas non plus inactif. Il explorait toutes les parties de mon corps un peu maigrelet. J’appréciais qu’il me caresse le dos, les fesses, me décalotte, masse mon gland avec son doigt pour étaler le pré cum qui perlait.Je me suis retenu le plus longtemps possible pour ne pas éjaculer tout de suite malgré les soins que me portait Paul. Et pourtant, deux gros jets sortirent de ma bite pour atterrir sur le ventre de Paul lorsque qu’il a commencé à me masturber. Je fus confus que cela ne dure pas plus. Paul me rassura en me serrant contre lui. Mes yeux étaient remplis de larmes de bonheur. Ponpon s’était arrêté pour brouter. Paul descendit, puis me fit allonger sur la croupe du cheval comme il l’avait fait. J’étais détendu, je regardais le ciel bleu. Paul me caressait le torse, le ventre, les poils pubiens si sensibles chez moi, soulevait mes boules et ma verge qui reposaient entre mes jambes qui pendaient de chaque côté. Il les massa doucement. Jamais je n’avais ressenti autant de sensations. Avant de descendre du cheval, je voulais ...
... faire comme Paul. Je me suis mis debout, bras et jambes écartées, mon sexe pendant sur mes boules, comme l’homme de Vitruve Je voulais sauter. Paul me rattrapa dans ses bras. J’étais blotti contre son torse si soyeux. Il m’embrassa le cou, puis suça mes petits tétons. Jamais je n’avais connu de telles sensations. J’aurais voulu que les minutes durent des heures, mais une voix vint interrompre ce moment.Du fond du champ arrivait Marcel sur le dos de Frisette. Je voulais retrouver mes habits, mais Paul me retint et me dit :- T’en fais pas, il sait que je viens ici lorsque je passe le voir avec Ponpon.Ayant confiance en Paul, je ne bougeais pas. Arrivé à notre hauteur, Marcel dit :- je savais bien que je te trouverais ici, mais pas avec quelqu’un. Tu voulais jouer sans moi.Il attacha Frisette à un arbre, et sans attendre ôta ses vêtements. Plus râblé que Paul, Marcel avait son sexe plus court et épais, des testicules plus gros, des poils plus disséminés. Ils étaient tellement clairs que l’on croyait qu’il était rasé. Je regardais son sexe sans prépuce. C’était la première fois que je voyais ça. Marcel s’approcha de Paul, feignit de chercher la bagarre. Ils finirent tous deux dans l’herbe, roulant l’un sur l’autre comme un match de catch. Je profitais d’un second spectacle de voir ces deux beaux jeunes hommes jouter. Selon leur position, je voyais leurs fesses, leurs jambes écartées. Les mains n’hésitaient pas à saisir les fesses pour les écarter qui me donnait la possibilité de voir ...