la ferme de Paul
Datte: 01/05/2020,
Catégories:
Gay
... Il était suivi de peu par un garçon. La dame dit :- Il y a aussi mon fils Paul qui travaille avec nous.J’avais devant moi un jeune homme d’une vingtaine d’année, une barbe de plusieurs jours. En lui serrant la main, nos yeux se sont croisés. Les siens étaient marron clair. Sa salopette de travail portée à même la peau, laissait voir son torse recouvert d’une belle toison aussi brune que ses cheveux, des épaules musclées dévoilait une musculature naturelle due aux travaux de la ferme. Après nous nous être mis d’accord, je suis reparti avec ma mère. Sur le chemin du retour, je proposais à ma mère de venir chercher le lait tous les jours. Elle fut d’accord après avoir terminé mes devoirs, ou bien pendant les vacances. Le soir dans mon lit, je repensais à ce garçon, ce qui me fit m’endormir avec une forte érection.Je me suis levé ce matin de très bonne humeur car je devais aller chercher le lait à la ferme ce soir. Je trouvais la journée très longue. Une fois mes devoirs terminés, je remontais dans ma chambre pour me changer, mettre mon maillot de corps, mon short sur mon slip de coton blanc aux entrejambes toujours trop large, l’élastique laissant des marques sur le ventre. Je pris le pot au lait, enfourchais mon vélo et direction la ferme, espérant voir Paul. A peine arrivé dans la cour, le chien se fit entendre, et je vis Paul sortir de l’étable pour le faire taire. Il s’approcha de moi tout sourire, toujours en salopette bleue sans maillot de corps. Il dit :- Tu es en ...
... avance. Nous avons presque fini de traire les vaches. Tu veux voir ?- Avec plaisir.Je rentrais dans l’étable éclairée par des soupiraux où une dizaine de vaches bien alignées mangeaient le foin débordant de la mangeoire. Je saluais ses parents qui terminaient de traire les deux dernières bêtes. Paul me dit :- Je vais te montrer Ponpon.On se dirigea vers l’écurie. Ponpon est un magnifique cheval de trait aux muscles puissants, à la robe couleur châtaigne, fait pour les travaux des champs. J’eus un léger frisson lorsque je sentis le bras de Paul m’enserrer les épaules pour me faire accroupir et de dire :- Tu vois ses grosses couilles, cela veut dire qu’il est un vrai mâle, et tu verrais quand il bande.Effectivement, je voyais deux grosses boules sombres, sans poil entre les pattes arrière de Ponpon. En se relevant, Paul dit qu’il fallait qu’il aille aider ses parents. En marchant, Paul me dit :- si tu viens plus tôt, je te montrerais comment traire les vaches.En rentrant à la maison, je pensais à l’effet que m’a fait le bras de Paul sur mes épaules, et toujours la question de savoir si il était nu sous sa salopette. L’ampleur du vêtement ne laissait voir qu’une petite proéminence au niveau de la braguette. J’essayais d’apercevoir son slip à chaque mouvement écartant le tissu de sa salopette au niveau de ses hanches.La fois suivante, j’arrivais à la ferme. La mère de Paul m’accueilli dans la cour en m’embrassant comme du bon pain et dit :- Paul est dans l’étable en train de traire la ...