la ferme de Paul
Datte: 01/05/2020,
Catégories:
Gay
A LA FERME Je ne peux pas dire que j’étais très avantagé par mon physique. J’étais de petite taille, un mètre soixante pour quarante huit kilos, mais surtout je faisais beaucoup plus jeune que mon âge. A 18 ans, je paraissais plus jeune, souvent je devais justifier de mon identité pour accéder à certain lieux. Même ma puberté était en retard, un corps peu développé, presque pas de poils. J’ai souvent été moqué par des copains lorsqu’ils voyaient mon sexe. C’était le prix à payer si à mon tour je voulais mater les queues d’autres garçons.Bien que je préfèrais la compagnie des filles, je pensais plus souvent à mes copains, sans jamais avoir osé faire quoique ce soit avec un garçon. Pourtant, lorsque je me masturbais, j’imaginais mes copains entrain d’en faire autant. Cela m’excitait davantage. A la piscine, je regardais souvent le maillot des garçons. A l’époque, je vivais dans le département des Basses Pyrénées (rebaptisé Pyrénées Atlantiques) dans un immeuble de ces villes nouvelles qui poussaient comme des champignons dans les années soixante. Après deux ans dans cet appartement, mes parents décidèrent de déménager dans des petites maisons individuelles fraîchement construites à la périphérie de ces grands immeubles La maison disposait de plusieurs chambres, ce qui me permit d’avoir ma propre chambre.Notre maison était à l’extrémité du lotissement proche de la grande campagne. Je pouvais entendre les vaches beugler dans les champs, ce qui supposait qu’il y eut une ferme pas ...
... très loin.Après avoir pris nos repaires, rencontré quelques voisin, il s’avérait qu’une ferme était pas très éloignée, pour y aller à pieds. Un après midi, j’accompagnais ma mère pour trouver cette ferme. Après une bonne demi-heure de marche, nous sommes arrivés. Il y avait une grande cour où gambadaient des poules, canards, et autres volailles. Une maison d’habitation, une grange, des grands bâtiments. J’aimais déjà cette odeur de ferme. Le chien de la maison attaché à sa chaine se mit à aboyer alertant la maitresse de maison de notre présence. Une femme d’une cinquantaine d’année un peu enrobée, sortit de la maison. Elle était habillée d’une blouse à fleurs, de sabots. Elle fit taire le chien pour nous demander ce que nous cherchions. Après lui avoir dit bonjour, ma mère lui demanda si c’était ici que nous pouvions acheter du lait, des œufs et autres produits. Elle répondit par l’affirmative et nous invita à entrer dans la maison pour nous présenter ce que nous pouvions acheter. La pièce était sombre, une grande table recouverte d’une toile cirée trônait au milieu de la pièce. Assis autour de la table, elle nous présenta une liste, nous précisant que pour le lait nous pouvions venir tous les jours, mais pour les autres produits, il fallait mieux les commander. Soudain, un monsieur d’un âge proche de la dame fit son entrée.- Je vous présente mon mari.Il était vêtu d’un pantalon de toile bleue, de bottes, d’une chemise, le tout pas très propre. Sûrement sa tenue de travail. ...