En visite chez Lydia
Datte: 29/09/2017,
Catégories:
fhhh,
fplusag,
fagée,
grossexe,
vacances,
campagne,
volupté,
odeurs,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... Malgré ses quatre vingt printemps, elle se tient bien et a une certaine allure. On sent que c’est une forte personnalité. Ses cheveux tout frisés sous un bonnet de dentelle, c’est très attendrissant, un peu comme dans l’histoire du petit chaperon rouge. Je me prends à avoir des pensées pas trop … et des envies de grand méchant loup, même si le pauvre il a mal fini dans l’histoire. Je crois que je suis entrain de devenir un authentique archéophile. — Bonsoir Lydia, cela fait longtemps que l’on ne s’est pas vue.— Bonsoir, Ho oui. Bise, rebise et contre bise. C’est qui ce beau jeune homme qui t’accompagne ? (Merci, avec mes passés 60 balais, cela fait du bien, C’est vrai que pour elle, je pouvais passez pour un jeune, vu qu’elle est dans les mêmes eaux de Mélanie.)— C’est Josef, et en pouffant, elle ajoute, c’est mon amant.— Pas croyable, toi, encore ?— J’avais arrêté depuis au moins trente ans quand ce polisson m’a séduite. Depuis, nous sommes comme des jeunes amants, nous sommes insatiables. J’ai rajeuni d’au moins 30 ans avec ses soins intensifs. (Il ne faut pas exagérer, enfin, les illusions gouvernent le monde, il faut dire) — Tu sais Josef, à l’internat, nous étions très proches avec Lidia, Nous avions fait tellement de bêtises ensemble.— Et ton mari. Comment va-t-il ?— Le pauvre, il nourrit les verres de terre maintenant, cela fait vingt ans qu’il a été enterré. Ce fût très dur pour moi, de sentir cette place vide dans notre grand lit. Comme il se faisait tard, nous ...
... pensions à rentrer pour souper pour qu’Albert ne se fasse pas des soucis. Elle nous propose de rester à souper pour lui tenir compagnie. — Téléphone à Albert que vous restez ici pour la soirée, cela me fait tellement plaisir de te revoir et cela coupe ma solitude. Maintenant, à part le facteur et le curé, il n’y a pas grand monde qui vient me voir. Là-dessus, elle fond en larme. Mélanie, qui a le cœur sur la main et pas dans la soupe, comme le prétendent certaines mauvaises langues, prend le téléphone et annonce à Albert qu’elle est chez Lidia et que peut-être elle ne rentrera que demain. — De toute façon, je n’avais pas encore commencé le souper et je venais de finir de gouverner les moutons. On se verra demain. Lydia est rayonnante, elle commence à être toute affairée pour préparer un bon souper et surtout, elle sort une bouteille de Saint-Emilion, dont je sens qu’on va lui faire un mauvais sort. Elle nous mijote un foie d’oie saisi au beurre maison, hum, je n’ai jamais goûté quelque chose d’aussi bon. Fantastique. Cela fond sous la langue. Finalement, après bien des babillages, viens le moment de passer aux choses sérieuses, se mettre au lit. Vu que je n’ai rien pris pour dormir, elle me passe un des pyjamas de son défunt mari qui me va comme un gant, juste que le pigeonnier baille un peu. — Il y a un hic, nous n’avons qu’un grand lit et un petit, et cela m’embête d’être encore toute seule dans un petit lit. Est-ce que je peux partager la nuit avec vous ? Mélanie, n’écoutant ...