1. En visite chez Lydia


    Datte: 29/09/2017, Catégories: fhhh, fplusag, fagée, grossexe, vacances, campagne, volupté, odeurs, Oral pénétratio, fsodo,

    ... elle-même avec la bouche. Cependant, il n’y a aucune chance, car, c’est vraiment dégoûtant. Enfin, nous allons ensemble dans le tube faire notre toilette et là, je la bichonne partout, partout et ne voila pas qu’elle repart en transe quand je commence à lui nettoyer son minou pour enlever cette odeur de bouc. Cependant, elle se maîtrise bien et m’offre le service inverse et commence à me laver d’un peu partout. Cela me rappelle de merveilleux souvenirs de jeunesse, quand mère grand, qui était affecté de la maladie de Parkinson, me faisait la toilette intime. C’était très agréable et elle rougissait toujours. A l’époque, je ne savais pas si elle se faisait un cinéma. Mais régulièrement, sous son nettoyage, je me retrouvais avec le poireau qui se dressait, malgré mes dix ans. Je sentais qu’elle avait le souffle épais, mais maintenant, je ne suis pas sûr que ce ne fût que de la fatigue. Vu la santé des octogénaires. Finalement, quand la toilette est finie, malgré ses courbatures, Mélanie se penche sur mon chêne (pour le moment) et lui donne un petit bisou pour le remercier. En voyant la peau fanée de son dos, je suis pris d’affection et de tendresse. Je la prends dans mes bras et la serre fortement contre mon cœur, nous avons un moment de forte communion. Je suppose de lui avoir bien fait plaisir, mais ce n’est pas le moment de se laisser aller, Albert doit bientôt rentrer et je ne voudrais pas de complications. Je ne suis pas chez moi. Nous finissons nos ablutions et nous ...
    ... sommes entrain de nous sécher quand on entend le bruit de la 2 bœufs qui arrive. Nous fîmes après le dîner (à midi) une longue promenade dans les alentours et on rendit même visite au curé du village qui fut tellement enchanté de revoir une ancienne paroissienne qu’il déboucha une bonne bouteille de vin de messe. Je comprends que lors de la communion, les curés se le réserve que pour eux. Un nectar fantastique. Il n’y a pas à dire, en comparaison avec les pasteurs qui sont comme des âmes en peine avec leurs tasses de thé, les curés, ça sait vivre, bien manger et bien boire. Je sens que je me laisserai bien inviter une autre fois pour pouvoir tester si c’est vrai, surtout que quand j’ai vu la servante, elle m’a l’air d’une fine cuisinière au moins. Vu les dispositions de Mélanie, je pense qu’à ce niveau, elle doit avoir encore une trentaine d’années à attendre avant d’atteindre l’âge canonique et qu’elle est toujours canonable. Il ne faudrait pas y envoyer le curé de Sensonens, je crois bien que ce serait plutôt l’âge du canon (pas le romain mais celui est entre les jambes), que canonique. Cela ferraillerait fort sous les jupes. Mais notre brave curé, bien pensu et ventru, ne m’a pas l’air d’être trop affecté par les plaisirs de la chair, mais plutôt par ceux de la chaire. Enfin, nous faisons nos adieux et continuons notre chemin pour aller chez Lidia, une ancienne amie de pensionnat de jeunes filles de Mélanie. Une femme d’un âge semblable à Lidia vient nous ouvrir la porte. ...
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