1. En visite chez Lydia


    Datte: 29/09/2017, Catégories: fhhh, fplusag, fagée, grossexe, vacances, campagne, volupté, odeurs, Oral pénétratio, fsodo,

    ... que son bon cœur, accepte et me dit tu n’y vois pas d’inconvénient, sinon, il te reste toujours le canapé dans le coin. — Moi, je veux bien, mais je sens que cela va être la bataille pour la possession de l’édredon, et peut-être pas celui que vous pensez. Nous voici réunis dans son grand lit, il est vraiment grand et bien dur, comme je les aime. Je me place d’un côté pour laisser mes deux coquines encore discuter et je fais semblant de m’endormir. Il y a des mouvements de duvet à coté. Je sens que cela bouge. Le sommeil a de la peine à venir. Tu crois qu’il dort ? ce serait dommage ! Je pense que oui. En entrouvrant un œil, malgré le noir, je les vois qui sont dans les bras l’une de l’autre et qui s’embrassent comme deux gamines. (J’espère qu’elles ne vont pas se prendre les prothèses) Je continue à simuler le sommeil quand je remarque que Lidia occupe la place du milieu et bientôt je sens une main furtive se glisser dans mon pyjama et s’emparer du colosse de Rhodes (aux pieds d’argile, cela fait du bien de se faire un peu de réclame) Gentiment, elle caresse popaul qui prend de la consistance. Ne voici pas qu’elle se glisse sous mon édredon et embouche ma zigounette. Décidément, les filles, non seulement de Camarés, mais également de Perpignan ne sont pas mal dans l’art amoureux buccal. Au même moment, pour anticiper toutes protestations, deux lèvres se posent sur les miennes pour un savant baiser. Une vraie langue fourrée, sans chocolat. Attention !, à ce rythme là, je ne ...
    ... vais pas tenir longtemps. Lydia a du sentir le danger car elle relâche son emprise et remonte le long de l’édredon, elle remonte même plus loin et bientôt, je me trouve en face de deux paires de seins, de même mouture que ceux de Mélanie, également avec des tétons bien érigés. Je n’hésite plus, je prends, je lèche, je suce, C’est aussi bon, si ce n’est meilleur, la nouveauté ! Ce n’est pas fini, sa remontée continue et je pense que Mélanie lui a dit que pour le broute minette, j’avais des qualités à ne pas négliger. Bientôt, je vois arriver son sexe, à portée de ma bouche. Un vrai tablier de sapeur, encore très noir et sans poil blancs, surprenant. (Vous allez vous demandez comment j’ai fait pour le voir dans le noir, mais c’est le lendemain que je l’ai constaté) Il est vieux, mais son goût est également délicieux, ses grandes lèvres se gonflent de plaisir. Par contre, c’est nettement moins humide que chez Mélanie, mais en plus concentré. Un bouquet d’herbes de Provence, à croire qu’elle a passé l’après midi avec les fesses nues assise dans les herbes aromatiques. Ses grandes lèvres sont toutes douces et se remplisse lentement d’un nectar subtil. En remontant la fente, j’arrive avec ma langue sur son clitoris qui sort comme une petite pine. Doucement avec les lèvres, je l’aspire et avec la langue, je le caresse juste en dessous, sur le méat urinaire. C’est délicieux, de plus en plus je sens que la fontaine du plaisir coule à large flot. Ma barbe est imprégnée de ces savoureuses ...
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