Une conséquence du Jeu de la Statue
Datte: 03/05/2020,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
Oral
pénétratio,
attache,
totalsexe,
... mains sont sur mes épaules qu’elles tiennent fermement. Je n’ai d’autre choix que de me laisser faire. Il me pousse vers le salon. Je vois son regard descendre vers ma main gauche et je réalise que je n’ai pas lâché ma petite culotte. Il la prend, la hume longuement, comme à midi. Puis son regard se plante dans le mien. — Elle sent aussi bon que l’autre. On va voir si tu as la chatte toujours aussi chaude. Ne bouge plus ! Il me fixe les mains de part et d’autre de l’encadrement de la porte puis ouvre largement mon peignoir. — Magnifique ! Mais tu n’as plus besoin de soutien-gorge, ni de peignoir. Il m’enlève le peignoir, et se colle contre moi, passe ses mains dans mon dos et me défait l’attache. Son corps et collé mien et je sens sa queue dure contre mon pubis. Involontairement, je pousse mon bassin. Il s’écarte, le soutien-gorge rejoint le peignoir au sol. — Continue à ne pas bouger, et garde les yeux ouverts ! Je veux que tu regardes ! Et je vois et je sens ses mains partir à l’exploration de mon corps. J’essaie de rester droite, de ne pas bouger, toujours avec cette idée de le narguer le plus longtemps possible afin d’exacerber mon propre désir. Aucune parcelle de peau n’est épargnée. Je frémis lorsque son doigt passe dans mon pli fessier. Je frémis lorsqu’il attaque mes seins, mes tétons, mon ventre, puis mon clito. Il s’arrête une seconde, approche ses lèvres de mon oreille et murmure : — Je vais être gentil. Qu’est-ce que tu préfères : le doigt ou la langue ? Je ...
... te laisse choisir. Dis-moi…— La… la bouche… la langue… oui… la langue. Il se met à genoux devant moi, sa tête se rapproche de mon pubis. — Statue, cambre-toi un peu, oui, là, cambre-toi mieux. Sa bouche se pose sur ma chatte, sa langue monte et descend sur mes lèvres. Il les écarte avec ses doigts. Sa langue, enfin, attaque mon clito. J’en suis électrocutée. C’est bon, c’est incroyablement bon. Rarement une minette ne m’a fait autant d’effet. Je frémis, j’essaie de toutes mes forces de me contenir, je dérape, je m’envole. Le salaud ! Quelle adresse ! La langue opère des mouvements circulaires, ou alors elle alterne et, de son extrémité, juste du bout, me titille à toute vitesse, ou encore, s’introduit dans mon vagin comme un sublime piston avant de revenir au clito. Je sens que je vais exploser et cela ne saurait tarder, car il fait pire : il introduit deux doigts dans ma chatte et débute un va-et-vient diabolique, de concert avec sa langue qui continue son travail de sape. C’est trop, un jet de mouille lui inonde le menton tandis que je pousse un hurlement. Je jouis avec l’intensité de la dernière des filles de rien, ma vulve est prise de spasmes, mes mains quittent le chambranle, je m’effondre sur lui, je jappe de bonheur. Il se relève et me relève en même temps. Je dois avoir l’air hagard, perdue dans un brouillard de délices. J’ai l’esprit explosé, je ne suis plus qu’un immense plaisir. Il me prend le visage entre ses mains. — T’as perdu ! Maintenant, il faut que tu te ...