1. Une conséquence du Jeu de la Statue


    Datte: 03/05/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral pénétratio, attache, totalsexe,

    ... réagir parce que toi agir ? Vantard ! Et tu agirais où ? Dis-moi vite ! Lui. Où ? Ton visage, le lobe de tes oreilles, la nuque, le dos, les reins, les hanches, tes seins, tes mamelons ton ventre. Mais je n’ai plus le temps de descendre plus bas, j’ai du boulot qui vient de m’arriver. On en reparlera à la pause de midi. Je relève la tête et respire profondément. Une irrépressible envie de me caresser m’envahit. Cuisante frustration : au boulot c’est quasi impossible. Je ferme les yeux, J’imagine sa verge, dressée sous mes yeux, à portée de ma bouche. Le salaud m’a excitée à mort. Ma langue humecte mes lèvres. Un saut aux toilettes ? Je n’ai pas le temps d’en décider. Un toc-toc discret, une porte qui s’ouvre, et mon chef de service qui dépose sur son bureau un épais dossier. Je me plonge alors dans le travail en jetant de temps en temps un coup d’œil à la pendule au mur. Toc-toc. La porte s’ouvre à nouveau. C’est lui. Lui ! Il s’approche de mon bureau en gardant une attitude toute professionnelle et pose une chemise sur le plan de travail : — Je t’ai amené le dossier Malah que tu m’avais réclamé hier. J’attire ton attention sur cette pièce. Et, ce faisant, pour mieux me la montrer, il vient se placer à côté de mon siège, se penche alors vers moi et me susurre à l’oreille : — Pauvre statue, tu ne tiendras pas le choc. Et ta chatte aime trop la bite, j’en suis sûr. Puis il empaume un sein, m’effleure fugacement le mamelon, puis se redresse. — Tu ne perds rien pour attendre. Il ...
    ... quitte alors le bureau sans un mot. J’en reste pétrifiée, les joues et le ventre en feu. °°°°°°°°°°°°°°°°°° La pause de midi. La plupart des collègues ont quitté les lieux. Je lui maile. Il ne répond pas. Je me sens abandonnée. Et j’ai plein de pensées torrides qui bouillonnent dans mon esprit. J’imagine ses mains qui me déshabillent, ses doigts, ses lèvres sur mes mamelons, ses… Faut que j’arrête, sinon je deviens folle. Je me jette sur mon sandwich et décide ensuite de me noyer dans le boulot. Pour oublier. Ce n’est pas d’une pause dont j’ai besoin, mais de fuir des images qui m’obsèdent. Je me plonge dans le dossier Malah pour le terminer. Mais c’est ressusciter sa présence à côté de moi, son souffle près de mon visage, sa main qui se pose sur ma poitrine… ses doigts sur le mamelon. Seule solution : la fuite ! Je décide d’aller aux archives, en sous-sol. J’avais décidé depuis longtemps de ranger celles de mon service. Je suis plongée dans les cartons depuis un moment lorsque la porte s’ouvre brusquement. La surprise me fige. Et mon cœur s’arrête de battre. De saisissement, je laisse tomber les trois classeurs que je serrais contre moi. Encore lui ! Il est là, il est beau, il… — Mais comment… comment as-tu su… ?— Mon bureau n’est pas loin du tien et j’ai l’oreille fine. Je t’ai entendue descendre, pas difficile d’imaginer où tu allais. Et je t’ai bien guettée…— Mais… qu’est-ce que tu veux ? Il s’approche de moi : — Devine ! Il pose ses mains sur mes épaules et me repousse ...
«1234...9»