1. Une conséquence du Jeu de la Statue


    Datte: 03/05/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral pénétratio, attache, totalsexe,

    °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° Le mail que je reçois d’un vieil ami, ce matin vers 9 h 30 au bureau, attire illico mon attention et me surprend. Un seul mot : — lis ! En fait, ce n’est pas le mail qui me surprend, c’est surtout la pièce-jointe qui s’intituleLe Jeu de la Statue. Comme je dispose enfin d’un petit battement, après un démarrage en trombe dans cette journée de boulot, j’ouvre le fichier et me plonge dans sa lecture. En diagonale, d’abord, puis d’un œil de plus en plus attentif. Le contenu m’électrise au fur et à mesure de la lecture. Je sens comme une chaleur monter et envahir mon corps, ma main… Arrivée au terme, je décide de ne pas garder ce bonheur sous le coude. Je veux le faire partager, je veux recueillir un avis, une manière de prolonger mon émoi. Il me vient immédiatement à l’esprit ce nouveau collègue, un beau spécimen de mâle arrivé dans le service depuis quelques jours et qui m’a tout de suite manifesté beaucoup d’intérêt. Et qui est si gentil et si prévenant avec moi, et qui ne me laisse pas indifférente du tout. Oserai-je ? Je me jette à l’eau, par mail, en interne. Moi.Dis-moi ce que tu penses de ça. Je viens de recevoir cette pièce-jointe d’un ami. Je serais curieuse d’avoir ton opinion. Le retour se fait un peu attendre, avec un mot d’excuse pour le retard dû à une tâche à terminer et au temps de lecture. Lui. Puis-je parler librement, sans risque de te choquer ? Moi.. Ben oui ! Tu ne t’es pas non plus privé de me zieuter librement depuis que tu ...
    ... es parmi nous, et sans que cela me choque. Vas-y, lâche-toi ! Lui. Je note avec satisfaction que de te zieuter ne t’a pas offensée. Même que ça t’aurais plu ? Bon : j’ai bien lu ton texte, et le contenu m’a emballé. J’aimerais bien jouer à ce jeu. Je me sens brusquement une vocation de sculpteur… Moi. Ça te botterait ? Et tu verrais qui, comme statue ? Lui. Toi ! Moi. Moi ? Et pourquoi moi, justement ? Lui. Je peux ? Tu maintiens que je peux te parler librement ? Moi. Mais oui, bien sûr, je ne suis ni une gourde ni une nonne, ni une conne ! Lui. Eh bien, parce que tu me fais fantasmer depuis que je suis ici. Je t’ai tout de suite repérée. T’es une belle plante, t’es bien foutue, t’as des seins qui me rendent malade, et tu dois avoir un cul de rêve. En plus, t’es vachement sympa et tu m’as même l’air un peu délurée. J’ai bien répondu ? Moi. J’accepte volontiers tes réponses. Mais c’est juste parce que j’ai l’air sympa que tu voudrais jouer à la statue avec moi ? Lui. Hypocrite ! C’est surtout pour vérifier si tu l’es effectivement, délurée. Moi. Mais comment pourrais-tu le vérifier, si je reste impassible, comme la statue doit le rester ? Lui. Rien qu’en acceptant de jouer, tu sais que je me permettrai des gestes indécents. Ne me dis pas, alors, que tu n’es pas délurée… Et quant à rester impassible ? Toi ? Impossible ! Moi. Qu’est-ce que t’en sais ? Et comment tu t’y prendrais avec la statue, pour la forcer à réagir ? Lui. Avec les mains, les doigts, avec la langue ! Moi. Moi ...
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