1. Thea au service d'Erika (1)


    Datte: 04/05/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... panoramique à travers le pare-brise m’intimide. — La taille de mon engin t’impressionne ? Demande Erika. Un sous-entendu flotte sur ses lèvres sensuelles. Un sourire coquin et complice étire les miennes. — C’est sûr qu’il faut avoir une sacrée paire de couilles, pour le conduire. — T’as pas idée, répond mystérieusement Erika. Je regarde les mains fines de ma voisine manier l’immense volant. Je les imagine caresser ma peau nue avec douceur et sensualité. Erika est concentrée sur ses manœuvres. Le semi remorque sort lentement de son emplacement. Les voitures rangées sur le bas côté paraissent fragiles à mes yeux. Cependant, Erika sait ce qu’elle fait. La jeune femme me confie qu’elle est attirée par les camions depuis sa plus tendre enfance. Petite, elle préférait en commander pour Noël ou à son anniversaire, plutôt qu’une poupée comme la plupart des gamines. — Ça t’ennuie si on fait une pause dans la prochaine aire, j’aimerais prendre mon petit déjeuner ? — Non, bien sûr. Je n’ai pas pris le temps de manger non plus avant de partir. Je surprends une nouvelle fois le regard intéressé d’Erika, glisser sur mes jambes. Une douce chaleur excitante parcours mon corps. Elle me plaît énormément, je vois que c’est réciproque, mais je ne sais pas comment le lui dire. « Tu es belle » serait bien trop banal et pas à la hauteur de l’effet qu’elle me fait. Je me sens rougir à chaque fois que nos regards se croisent. Ma peau frissonne de désir. Erika me demande pour quelles raisons je ...
    ... vais à Lyon, et combien de temps je compte y rester. Nous revenons dans la région le même jour. La jeune femme me propose de faire le retour ensemble. J’en suis ravie. Dans la conversation, elle m’apprend qu’elle habite à une dizaine de kilomètres de chez moi. Une éventuelle histoire d’amour se dessine dans mon esprit. — Où est-ce que tu dors quand tu fais de longs voyages ainsi ? Je demande. — La cabine est équipée d’une couchette et d’un coin repas, derrière les rideaux. Intriguée, je me retourne sur les rideaux fermés en velours bleu roi, derrière les sièges. Nous approchons de l’aire du Jura. Erika emprunte la sortie. Elle se gare sur le parking réservé aux poids lourds. J’ouvre la portière. Erika apparaît, je me laisse glisser en bas. Ma jupe se relève sur mes hanches. Elle a une vue imprenable sur mon mini tanga blanc en dentelle, à travers mes collants chair. Ses yeux brillent d’un désir brûlant. Mon corps s’enflamme. Ma respiration devient haletante. — Eh les minettes ! C’est sur mes genoux que vous devriez être, pas toutes seules au volant d’un camion. C’est trop dangereux pour de si jolies petites chattes. Je lève la tête sur notre voisin perché à sa vitre, les avant-bras tatoués croisés sur le rebord. Son clin d’œil coquin m’excite. Erika lui adresse furieusement un honorable majeur, sans même se retourner. Elle surprend l’excitation qui se lit sur mon visage. Une expression prudente peint ses traits fins. Elle ferme la portière. Nous marchons côte à côte jusqu’à ...
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