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Ma tante de 45 ans est sublime (8)
Datte: 04/05/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... crois de plus en plus et ça m’inquiète mais c’est si bon de se sentir ainsi et tu sais me faire des choses... Inutile de préciser que ma verge était en effervescence devant ma tante. La voir ainsi dans la pénombre ajoutait une part de mystère mélangé d’un suspense. Nous frôlions l’interdit au plus haut point avec son mari au 1er étage. Je ne sus si Chantal fut excitée de la situation, mais l’envie de faire l’amour avec son neveu dépassa son entendement. Je le sentis dans sa façon câline de son comportement. A l’instant présent, j’eus cette impression curieuse de voir ma tante en manque de sexe, comme une droguée à la recherche de sa dose. Moi. Je sentis sa poitrine effleurant mon torse lorsqu’elle vint s’asseoir sur mes cuisses. Je la pris par les hanches tout en lui caressant la peau de velours de ses fesses et l’attirai vers moi. J’avais son souffle dans le cou. Elle prit d’elle-même l’initiative de venir en moi en me caressant mon sexe avec ses doigts fins. Elle se glissa en moi à sa manière, voluptueuse, talentueuse. Elle s’installa définitivement en posant ses mains sur mes épaules. Chantal fit un long soupir de satisfaction. Mes mains parcoururent le bas de son dos pour la serrer bien contre moi. Je sentis son ventre contre moi, ses seins en alerte contre ma poitrine et enfin, mon sexe tout entier au plus profond de sa délicieuse fente, brûlante d’amour. Puis Chantal commença délicatement à onduler son fabuleux bassin, mes mains posées sur les hanches comme un simple ...
... spectateur. Spectacle féerique que m’offrit ma tante, demandeuse d’amour pour un soir. Elle accentua la cadence, produisant en moi une excitation sournoise. Elle se pencha pour me donner ses lèvres raffinées, naturelles, humides, désirables à souhait. Je lui offris ma langue en échange. Elle l’accepta volontiers avec la sienne. Nos langues se connaissaient et évitèrent les présentations. Elles partirent dans un bavardage incessant. J’embrassai les lèvres de ma tante comme un gosse dévorant son quatre heures ! Dieu qu’elle était bien foutue ma tante et comme elle était bandante ! Elle baisait comme une folle, le feu était en nous. Ni l’un ni l’autre ne voulut éteindre ce brasier. Chacun voulut se faire consumer par l’autre. Les mouvements proférés par ma tante me firent penser à la marée. La marée qui monte et la mer qui vient et puis qui va, cette lumière (de la cuisine) qui fait gris tous les chats, la nuit qui traîne comme un chien à la recherche de son bien... Mon bien de ce soir, c’était ma Chantal. La marée devint haute et les vagues devinrent incontrôlables dans notre embarcation de fortune, ma barque céda sous la houle déferlante de ma tante pour se fracasser dans son corail rêvé. Cette vague m’avait plongée sous les eaux turquoise de ces îles du pacifique, je ne pus admirer ces coraux, mais je sentis de tout mon corps ces beautés intérieures. Je ressentis la quiétude de l’océan, j’imaginai toutes ces couleurs chatoyantes. Sans y voir, je me sentis au paradis dans ce ...