Stage de massage
Datte: 29/09/2017,
Catégories:
fh,
noculotte,
massage,
Oral
pénétratio,
humour,
... me régale : une belle entrecôte aux échalotes avec une bonne bouteille, vive la vie ! Lili m’accompagne. Assise en face sur la banquette, l’Isabelle se fait un plat de rognons, ce qui fait sourire Lili. — T’as vu comment elle les attaque, les rognons ? susurre-t-elle dans le creux de mon oreille gauche. Faut pas lui en promettre ! Sur ce, elle retourne à son turbot mariné, appétissant lui aussi. Sacrée Lili. Bref, ça va bien pour nous. Après le dessert, alors que mollement affalé sur ma chaise je me prépare à savourer un bon café, je sens un pied menu forcer le passage entre mes genoux et remonter le long de mes cuisses. J’aurais des bas au lieu d’un jean, l’électricité dégagée par ce frôlement suffirait à alimenter la ferme pendant un an au moins. Elle tient sa tasse de thé sagement, rien ne transparaît sous la table. Un deuxième pied rejoint le premier de l’autre côté de ma cuisse et frôle une partie de mon anatomie que Lili qualifie de monumentale. Béat, je soupire d’aise, quand une sonnerie de portable se fait entendre. Le son un peu voilé semble venir de sous la table. Lili me donne un coup de coude. — Ton portable, Milou ! Je sursaute, glisse la main dans ma poche, repousse le pied menu et coquin qui, à force de passage sur cette partie, a fini par déclencher le réveil du portable. C’est un vieux modèle, monument historique chez les portables, qui fait impression dans la poche, paraît que ça me donne du volume, selon Lili. Je souris bêtement à ma voisine d’en face qui ...
... se marre encore plus et qui en profite pour replacer ses pieds de façon plus précise. Sagement, je garde l’objet sur la table. Lili se fend la pêche, je crois qu’elle a compris ce qui se passe. Au moment de se lever j’ai un moment d’hésitation : ça va se voir ? Je remets le téléphone en poche, ça équilibre les formes. Un regard d’en face confirme ! Ça se voit ! En sortant, Isabelle me frôle : — J’ai pas de culotte ! me dit-elle. Comme un couillon, je baisse les yeux vers son anatomie fessière. Non, ça se voit pas. Vous le savez, vous, si une femme porte des dessous ? Moi, je sais pas, il faut qu’on me le dise ou alors que je touche, sinon ! Nous réintégrons le lieu du stage à la queue leu leu. Devant la porte, Isabelle freine d’un seul coup, je lui rentre dedans par derrière, elle se cambre, plaçant ses fesses juste là où il faut. — T’as rangé ton portable ? me dit-elle. Je le sens plus. Je me sens soudain drôle, excité, étonné. Elle est complètement décalée, cette fille ! Tant mieux ! Soyons sage ! L’animatrice nous explique le but de travail et, après une démonstration sur Jean d’un massage assez long, elle nous dit de nous répartir dans les pièces adjacentes et de commencer le massage. — Je passerai vous voir, ajoute-t-elle. Lili file avec une petite rousse dans une pièce à gauche et Isabelle m’entraîne d’autorité vers la chambre au bout du couloir. Une table de massage nous attend. Dès que la porte se ferme, Isabelle m’enlace et entreprend de me rouler une pelle majuscule, ...