Stage de massage
Datte: 29/09/2017,
Catégories:
fh,
noculotte,
massage,
Oral
pénétratio,
humour,
... une comme vous en avez rêvé et que Machin, il l’a pas faite. J’en ai la tête qui tourne et les oreilles décollées. — Depuis ce matin, j’en avais envie très fort, dès que je t’ai vu, ça m’a prise, j’ai envie de toi ! Au cas où je le saurais pas… Et elle entreprend de me déshabiller – ou plutôt, avec une délicatesse de tigre affamé, elle m’arrache les vêtements, me demande de m’allonger sur la table. Ai-je le choix ? Elle prend le temps d’enlever ses vêtements un à un, pour rester avec son soutif à faire pâlir d’envie une araignée. Effectivement, son absence de culotte est flagrante. Ses poils pubiens sont taillés façon ticket de métro et viennent encadrer le début de sa fente Mes mains semblent attirées vers ce précieux coquillage. Je remonte le long de sa cuisse où la peau est si douce, jusqu’à poser la main sur ses lèvres humides et chaudes. Elle a mis sa main sur mon dos et descend doucement sur mes vertèbres, se glisse entre mes fesses pour atteindre l’objet de son désir. Je cambre un peu mon dos pour faciliter le passage. Je gonfle si vite dans sa main que j’ai peur d’éjaculer tout de suite. — Attends, ralentis, je vais jouir tout de suite, murmuré-je.— Alors avec la bouche, ça ira mieux. Tourne-toi ! Devant tant d’autorité… Joignant le geste à la parole, elle me prend dans sa bouche. Comment résister ? Je résiste pas ! Mes mains s’égarent entre ses cuisses. Son sexe est trempé, mon pouce frotte doucement son clitoris tandis que deux de mes doigts vont câliner son point ...
... G à l’intérieur de son vagin. Je crois que nous jouissons ensemble. Son corps est secoué d’un léger tremblement, comme un mini-séisme dont l’épicentre serait son bassin. Un bruissement d’ailes de colibri, en quelque sorte. Reprenant une position verticale, elle pose ses mains sur mon dos. — Ça t’a plu ? J’en avais envie et ça, je le fais même pas à mon mari. La porte s’ouvre, Nathalie passe la tête et nous demande si tout va bien. Oui, oui ! La réponse fuse en chœur. — Tes mains, Isabelle, tes mains plus fort sur son dos, là, passe bien à côté des vertèbres, jusqu’en bas, étire bien. La poitrine, maintenant. Tourne-le. Les pectoraux, ils sont bien développés, chez lui, masse en profondeur, là, comme ça, descends, plus bas, là, sens les muscles. Tu parles ! Elle me touche le gland ! Question muscle, ça devrait se sentir. Je vois Isabelle qui sourit, la main dans mon caleçon. Ça oui, elle écoute bien les conseils ! Puis Nathalie s’en va et nous reprenons nos ébats. Aurait-elle voulu aller plus loin avec nous ? Je rebande. Isabelle vient s’allonger sur moi. Libérés de son soutif, ses seins me caressent les pectoraux, je caresse ses fesses musclées. Avant de m’introduire dans son sexe, elle me dit, de sa douce voix : — Je veux te sentir longtemps, maintenant, je veux sentir ta queue dans moi, bien profond, je vais te faire un massage à ma façon, tu vas voir ! Mon sexe est contre le sien, je sens ses lèvres chaudes et humides s’ouvrir sous la pression de mon gland, elle pousse, je ...