1. Hautefort au mois d'août. (1)


    Datte: 05/05/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... soudainement je me rends compte que j’ai oublié mon carnet au bord de la piscine. Panique. Si jamais mes parents tombent dessus... Je me précipite à l’extérieur. Avec soulagement je le retrouve où je l’avais laissé. Je le serre contre ma poitrine et remonte en catimini. Je l’ouvre. Première page. Un post It jaune criard. Continue comme ça. Tu as du style. Mon oncle. Je suis abasourdie. Tétanisée. Comment a t il pu s’introduire dans ce que j’ai de plus intime ? Me laissant une trace obscène de son passage forcé. 00h09 Impossible de dormir. Je lis et relis le mot qu’il a glissé dans mon carnet. Qu’a t il parcouru exactement ? Je suis exténuée. Il faut que je me change les idées. J’attrape mon téléphone sur le chevet et fouille les bas fonds d’Internet pour dénicher quelque chose d’excitant. Quelque chose sur quoi échafauder un fantasme efficace. Je tombe rapidement sur une multitude de photos, des dessins. Je plaque mon ventre au matelas et me cambre pour glisser ma main droite entres mes cuisses. Je replie une jambe pour faciliter l’accès. Je mouille déjà. D’un doigt j’écarte délicatement mes lèvres et recueille un peu de liquide visqueux. Je l’étale sur mon petit bouton qui pointe. Dur et doux à la fois. Je le masse. Tout doucement. Je laisse mon imagination prendre le dessus. Je suis ailleurs, entourée d’hommes, offerte, impudique... Mon téléphone vibre. "Dis donc jeune fille, tu ne dors pas encore ?" Il ne doute de rien ! Et il ne pouvait pas plus mal tomber. Finissons-en. ...
    ... "Quelle perspicacité ! Pourquoi as tu fouillé dans mon carnet ? Tu n’avais pas le droit ! Ça ne te regarde pas !" "Simple curiosité. Ne fait pas l’enfant. Tu as du talent tu sais. Je pourrais t’aider, te corriger." "Mais bon sang, tu ne t’arrêtes donc jamais?! Tu n’es pas mon prof !" "J’espère que tu ne fais pas lire ce genre de récit à tes profs..." Il a donc lu la dernière histoire. Je suis pétrifiée sous les draps. Mon cœur résonne dans ma poitrine. "Ne soit pas gênée. J’ai beaucoup aimé. Je ne te pensais pas capable d’imaginer de telles situations. Je trouve ça très tentant." Je ferme ma messagerie et cache mon téléphone sous l’oreiller. Je suis rouge de honte dans le noir. A quoi joue t il ? Sans m’en rendre compte ma main toujours coincée entre mes cuisses a continué sa besogne. Je suis trempée. Je ferme les yeux. Mon oncle s’invite dans mon fantasme. Vibrations. Encore. "Notre conversation t’a t elle fait mouiller ta culotte ?" Stupeur. Je suis joueuse. Mais quand même. J’ai envie. Mais ce n’est pas raisonnable. Ce n’est pas un copain. Mon père me tuerait, ma mère serait hystérique. Et que dire de Céline? Bordel pourquoi a t il mis le nez dans mon carnet ? ! C’est ridicule. Il a commencé. Jouons ! "Je n’en porte pas." Pas de réponse. Il doit accuser le coup. "Tu ne réponds pas à ma question." nwonhheu Ah... "Alors oui." "Réécris-le. Fais une phrase complète." "Je suis trop fatiguée." "Fais-le." "Alors oui, une certaine moiteur a envahit mon intimité mais pas assez pour ...