1. Hautefort au mois d'août. (1)


    Datte: 05/05/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... souiller ma lingerie si j’en avais porté. Satisfait ? " "Parfait. Le mot souiller. Tout cela t’excite donc." "Un peu." "Caresse-toi." "Je n’ai pas attendu que tu me le demandes ! D’ailleurs j’ai besoin de ma main droite. A demain!" "Je suis très frustré grâce à toi. Merci, c’est stimulant." "Avec plaisir ! " "Ahaha tu es drôle." "A votre service Monsieur ! " "Tu es sûre du titre que tu me donnes, même pour rire ? Question triviale." " Je ne suis sûre de rien." "Demain tu porteras une jupe sans culotte." "Demain je porterai ce que je veux ! Fais de beaux rêves." 3h54 De nouvelles vibrations me tirent de mon sommeil. "Ma queue giclera tout à l’heure et mon foutre abondant, épais et chaud, recouvrira puissamment quelque chose. As-tu une préférence ?" Ses mots me réveillent instantanément. L’adrénaline coule subitement dans mes veines. Je me cache sous la couette et m’arrête sur chaque mot de ce nouveau message. Je l’ai ouvert, il l’a forcément remarqué. Je ne peux pas me défiler. "J’aime l’image du foutre qui dégouline sur la main puissante qui vient de branler." "Donc sur mes propres mains ? Tu avais toute latitude. Absolument toute." "Je suis peu habituée à ce genre d’exercice. C’est la première ...
    ... image qui m’est venue à l’esprit." "Je me demandais si tu serais vicieusement perverse. Je vois que tu es respectueuse. Je ferai ce que tu viens de demander." "Toute latitude dis tu ? Soit. On garde ma première image. Ta main. Je veux que tu te branles devant ta femme en pensant à moi. Aucune digression, juste moi. Je veux qu’elle te voie parfaitement. Qu’elle observe chacun de tes gestes, chacun de tes soubresauts. A aucun moment tu ne lui permets de te toucher. Aucun. Elle n’aura pas non plus le droit de se caresser. Juste de sentir l’excitation monter en elle. Je veux que tu fermes les yeux et que tu répandes ton foutre pour moi. Abondamment. Que ta main soit maculée de sperme. Tu ouvres les yeux. Tu la vois. Magnifique. Tu lui offres ta main. Juste sous son nez. Elle comprendra. De sa salive pure, elle t’enduira chaque doigt. Lentement, méticuleusement. Faisant disparaître ton foutre sous sa langue experte." "Je suis très content de toi. Et je lui ferai faire sous la douche. Ça te va ? Tout à l’heure. Vers 8h30. Tu pourras regarder ton horloge et tu sauras ce que je suis en train de faire." "C’est parfait. Je dormirai encore certainement. Je suis une marmotte tu sais." "Dommage. Mets un réveil ? 
«123»