Les récits de Sandie. N°1
Datte: 05/05/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... - Oui je veux faire l’amour avec toi. Il est venu sur moi. Je le pris dans mes bras, j’ouvris et relevai mes cuisses. L’obscurité aidant, j’osais lui murmurer des mots doux, des mots d’amour. Je lui demandais de me prendre, de me faire l’amour, je l’appelais mon amour et lui dis plusieurs fois que je l’aimais. C’est lui qui a guidé son sexe contre le mien. Il a frotté doucement le gland entre mes lèvres durant quelque secondes qui me paraissaient trop longues, tant je désirais être pénétrée. Je le serrai de toutes mes forces, alors qu’il glissait doucement dans mon ventre, je sentais les parois vaginales s’écartaient sous la pénétration. Lui aussi me murmurait des mots d’amour, il cherchait mes lèvres pour de longs baisers. Lorsque Jean me pénètre, il bouge de suite, me fait l’amour avec vigueur presque immédiatement. Lui, Roger, est resté un long moment immobile une fois dans mon ventre. Il me parlait, me caressait le corps, les seins mais ne bougeait pas. Je sentais son sexe vivre en moi. Je contractais mes muscles vaginaux pour le sentir. Puis, il a commencé à bouger, mais doucement. Il venait tout doucement en moi. Mais chaque fois, j’avais l’impression qu’il voulait venir plus profondément en moi. Qu’il voulait venir jusqu’au fond de mon ventre. Il forçait, il appuyait avec ses reins, me remontant sur le lit. Je me tenais à lui. Je le sentais en moi comme je n’avais jamais senti Jean. J’entendais, je recevais son souffle, sa respiration dans mon cou à chaque mouvement. ...
... Il avait soulevé ma chemise de nuit au-dessus de mes seins. Je me tenais toujours à lui. Je gémissais doucement à chaque fois qu’il butait au fond de mon vagin. Ses mouvements étaient plus amples, mais plus lents, plus profonds. J’avais l’impression des fois qu’il voulait me faire mal. Il pétrissait mes seins avec plus de force. Je continuai à lui murmurer des mots doux. J’ai senti que j’atteindrais l’orgasme très vite. J’essayais de ne pas y penser, d’attendre, de le repousser. Je m’en sentais incapable. Je lui murmurais que j’allais venir. Je crois qu’il a répondu « je t’aime », je ne sais plus. Doucement je me suis senti partir. Je l’ai serré très, très fort lui disant que je venais. Puis la délivrance une fois le point de non-retour franchi. Je me suis laissé glisser dans le bonheur. Ce que j’aime aussi dans l’amour c’est ces quelques secondes qui suivent l’orgasme. Cette impression de n’être plus maître de soi. J’aime m’abandonner ainsi. Je me relâche complètement et je suis incapable de faire le moindre geste durant quelques secondes. Il est resté un moment sans bouger. Il caressait mes cheveux, mon visage, prenait mes lèvres. Il m’a demandé tout bas, si cela allait. Puis lentement il a recommencé à bouger doucement. Je ne sais pas combien de temps il m’a fait l’amour. De temps en temps il pressait un de mes seins. Ou il soulevait et écartait une de mes cuisses. A voix basses toujours, il me demandait de me laisser aller. Il m’appelait « mon poussin », « ma chérie », « ...