1. Les récits de Sandie. N°1


    Datte: 05/05/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... mon amour ». Il me disait très souvent « je t’aime ». Cela me faisait étrange de lui murmurer des mots d’amour, de lui dire moi aussi « je t’aime ». Puis, je me suis sentie partir de nouveau. Je le serrais très, très fort, je lui disais que je venais. A cet instant, il a accéléré ses mouvements. Sa respiration est devenue plus rauque. J’ai compris que lui aussi allait jouir. J’ai essayé de toutes mes forces de ne pas partir, de me retenir encore quelques secondes. Mais c’était impossible. Je suis partie et dans le même instant, j’ai senti que lui aussi se contractait et éjaculait dans deux à trois jets importants. Il a murmuré : - Petite pute, tu m’as fait jouir ! Il y a si longtemps ! - ……….. ? J’étais morte. Il est resté un long moment en moi sans bouger. Sa tête dans mon cou, ses lèvres contre ma peau. Je le sentais toujours dans mon ventre. Puis, je suis tombée dans les bras de Morphée sans m’en rendre vraiment compte. Je me souviens uniquement qu’il avait rallumé la lumière et l’impression érotique que l’on me suçait les seins. Je me réveillai le lendemain matin. J’étais seule dans un lit inconnu, entièrement nue, ma chemise de nuit à côté de moi. Les volets étaient entrouverts et la clarté du jour entrait dans la chambre. Je reconnais qu’il m’a fallu deux à trois secondes pour comprendre et me souvenir où j’étais. Je me levai… j’avais la pointe des seins beaucoup plus sensibles. Je mis le peignoir qui était toujours sur mes affaires et suis sortie de la chambre. ...
    ... J’avais besoin d’aller à la salle de bain. Il était dans la cuisine. Il me sourit en me disant bonjour et en déposant un petit baiser sur mes lèvres. Je filai à la salle de bain et pris une douche bien chaude. Je suis sortie propre et nue sous mon peignoir. Il m’attendait dans le salon devant un plateau de petit déjeuné. Il avait déjà pris sa douche et était lui aussi nu sous son peignoir. Il souriait et me demandait si cela allait… ajoutant qu’il avait eu tort de me donner un soporifique hier soir. Je m’étais endormie trop vite. Il avoua qu’il en avait profité pour m’examiner entièrement avec beaucoup d’attentions. Je n’osais imager son examen. Nous avons déjeuné tous les deux. Il restait plus de trois heures avent d’aller à Perrache. Il alla chercher sa plaquette de Viagra. Il me disait qu’il l’avait depuis des années. Il en manquait deux, une qui avait été utilisée hier soir. Et une qu’il avait prise en faisant le petit déjeuné. Je comprenais ce que cela voulait dire. Le petit déjeuné était terminé depuis un moment déjà. Il s’est levé et il a pris ma main, m’obligeant à le suivre dans la chambre. Je me suis assise et ensuite allongée sur le lit. Il s’est penché sur moi. il a dénoué la ceinture du peignoir puis il en a écarté les pans. Il a regardé mon corps. Sa main est venue sur mes seins, mon ventre, entre mes cuisses qu’il a écarté. Il s’est penché sur moi. Il a posé ses lèvres sur mes seins, puis sous mon nombril. Son visage, sa bouche sont venues à l’intérieur de mes ...