1. Monstrueuse - Une femme de tête


    Datte: 08/05/2020, Catégories: fh, couple, poilu(e)s, forêt, amour, Oral pénétratio,

    ... depuis des jours. Je me suis branlé des soirées entières en pensant à ta forêt intime et en imaginant ton odeur poivrée. J’ai sucé son gros bouton, il était dur et turgescent, avant de replonger plus avant dans son antre et d’aspirer bruyamment son jus. Quelques minutes sous le léchage méticuleux de ma langue frivole et je la sentais se raidir de plaisir, tétanisée par la jouissance. Elle me retint par la tête pour ne pas basculer en arrière, le temps de reprendre ses esprits. Levant les yeux, je vis les siens vitreux, perdus dans le brouillard… — Hum, t’es fou, tu m’as mise dans tous mes états. J’aime ça que tu me bouffes comme ça, j’adore ça. Ces temps-ci je me suis masturbée souvent en te revoyant en train de regarder ma chatte. J’étais tellement complexée auparavant. Tu m’as libérée depuis que je t’ai vu me regarder avec appétit. Je n’ai plus honte de mes poils, en tout cas pas de ceux là. Je l’ai prise dans mes bras et l’ai embrassée passionnément. — J’adore tes poils, tous tes poils. Ne change rien, tu m’excites énormément.— Pourtant, dans ton journal, tu disais être surtout très attiré par les chattes rasées.— L’un n’empêche pas l’autre. Et, avant de te connaître, je ne rendais peut-être pas compte à quel point une chatte très poilue peut être excitante. D’ailleurs pas uniquement une chatte, ton cul poilu est également l’objet de mes désirs.— Oh ! Cochon !— Je connais pourtant une nana qui dans son journal rêve sans arrêt de sodomie. Et qui va même jusqu’à mouiller ...
    ... ses doigts et à les enfoncer dans son petit trou pour voir « comment ça fait ».— Si tu veux aller par là, il y a aussi des mecs qui s’enfoncent des concombres dans le cul. Je me suis mis à rougir, honteux. — Mais t’inquiète, c’est normal, tous les plaisirs sont bons à prendre ! Annick ouvrait la marche, volontaire et décidée pour se frayer un chemin dans ces obscurs sous-bois. Nous étions vraiment seuls au monde et éloignés de tout. Par moment des animaux bruissaient dans les feuilles : Des serpents ou des rongeurs. Mais au fur et à mesure que nous avancions les bruits se faisaient plus rares. Annick s’arrêta et se retourna lentement vers moi : — Shutttt, tu ne les entends pas— Entendre quoi ?— Parle doucement, ce sont les démons de la forêt. Et moi je suis Vitipéra la sorcière et je vais t’initier à mes rites sabbatiques. Il paraît que si nous faisons l’amour dans ce coin isolé, le sperme répandu réveillera les êtres démoniaques et que nous pourrons alors exaucer tous nos vœux… Arrache-moi mes vêtements, viole-moi comme une bête, je suis possédée par le désir, prête à me laisser enfanter par un bouc. Elle était fiévreuse, presque en transe : — Baise-moi contre un arbre. Je veux ta bite, je veux tes couilles, je veux ton dard, je veux que tu me transperces, je veux sentir ton bâton brûlant entre mes cuisses. Je suis en chaleur, je veux une saillie. Tu es mon taureau, je suis ta génisse, monte-moi, remplis-moi ! Et ce faisant, nous étions en train de nous dévêtir mutuellement, ...
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