1. Monstrueuse - Une femme de tête


    Datte: 08/05/2020, Catégories: fh, couple, poilu(e)s, forêt, amour, Oral pénétratio,

    ... qu’il est avec moi. Et je vous promets que je veille bien sur lui et qu’il ne fait pas de bêtises. D’ailleurs il n’a pas intérêt à en faire. Toutes choses qui peuvent rassurer une mère par trop inquiète. Petit passage dans ma chambre et nous nous envolions vers d’autres cieux, laissant derrière nous ma famille qui avait probablement désormais un « très » gros sujet de conversation. — Je suis venue en mobylette.— En mobylette ?— Ben voui, en mobylette !— Je ne savais pas que t’avais une mobylette.— Moi non plus, mais c’est celle de Mathilde, elle me l’a prêtée pour la journée. Tu prends la tienne et tu me suis ?— Et on va où ?— Assez loin, tu verras. Tu as de l’essence au moins.— Plein le réservoir.— Ça devrait suffire mais j’ai des bidons dans les sacoches au cas où. Putain, quelle organisation ! Et nous voici partis sur une petite route de campagne, direction plein sud à travers les marécages. Cela faisait bien 5 ans que je n’étais pas venu dans ce coin là. Sur cette route déserte nous zigzaguions comme des petits fous, nous amusant à nous dépasser. Nous étions vraiment comme des mômes. Plus loin nous avons traversé une forêt en prenant des chemins à peine carrossables. Et plus nous avancions et plus la végétation se faisait dense. La forêt semblait se refermer sur notre passage. Nous avons finalement dû abandonner les mobylettes, la sente étant impraticable. — Mais où allons-nous ? On va se perdre, t’es sure que c’est par là ?— Arrête de pleurer ta mère et fais-moi ...
    ... confiance. Regarde dans le sac à dos, j’ai amené des bottes, il vaudrait mieux les mettre.— 42 ! Et en plus c’est ma taille, t’es vraiment trop toi. Et t’as trouvé ça où ?— Un coup de bol, c’était celles de l’ancien jardinier… Un petit bisou pour la route et on y va. Tu peux prendre le sac à dos, s’il te plait.— Une pelle, un piolet, une carte, une bouteille d’eau et un briquet : Nous voilà transformé en « Indiana Jones » des temps modernes.— Alors il vient ce bisou ? En fait de bisou, nos bouches se sont soudées, nos langues se sont cherchées, nos salives se sont mélangées, j’avais tellement envie d’elle. J’ai dégrafé son jean, glissé la main dans sa culotte, dans son buisson luxuriant. L’envie était très forte de la violer sur place. Sa chatte poilue était le fruit de tous mes fantasmes. J’en rêvais la nuit de cette grosse touffe bien noire ! Et elle était trempée comme à chaque fois que je risquais la main entre ses cuisses, elle dégoulinait d’envie. Comme je lâchais sa bouche : — Ohhh, mon amour, arrête, sois sage.— J’ai trop envie de ta chatte. Je me suis laissé tombé à genoux devant elle : — Hummm, comme tu sens bon, laisse-moi te sentir, laisse-moi te lécher, laisse-moi te brouter. Elle disait « Non, sois raisonnable. » mais d’un « non » qui signifiait « oui, vas-y, dépêche-toi, bouffe-moi, j’ai la chatte en feu ». J’ai écarté ses chairs et j’ai glissé la langue dans son fruit juteux. Elle a écarté légèrement les cuisses. — Humm chérie, ta chatte poilue me fait fantasmer ...
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